Présent à Roland Garros pour défendre et promouvoir le sport en Guyane, Bernard Lama n'a pas souhaité aborder le rachat du PSG. Pire, ça l'énerve?
L’assemblée semblait plutôt sympathique au premier abord. Bernard Lama, ex-portier du PSG et des Bleus, champion du monde 98, était présent aujourd’hui au bar de la presse du court Philippe Chatrier à Roland Garros pour défendre le sport en Guyane, sa région d’origine. Seul petit "hic" de ce grand moment de convivialité, l’ancien joueur professionnel ne souhaitait visiblement pas dévier du sujet. Aussi lorsque les journalistes ont commencé à lui poser des questions sur le rachat du PSG, son ancien club, par des Qataris, Bernard Lama a changé de ton et a répondu sèchement qu’il en avait que faire et qu’il ne voulait pas s’exprimer. Le Guyanais s’est même un petit peu énervé. A croire que le sujet PSG est devenu tabou pour lui. Mais à quoi s’attendait-il ?
Djoko très fan de McEnroe
Les journées se suivent et se ressemblent pour Novak Djokovic. Hier déjà, le Serbe a fait profiter les spectateurs des cours annexes d’un entraînement extraordinaire avec pour sparring-partner un certain John McEnroe. Rebelote aujourd’hui sur le cours numéro 4 avec l’Américain. Une heure d’entraînement avec Novak Djokovic et John McEnroe. Visiblement les deux hommes s’apprécient beaucoup.
Noah incognito
Il ne suffit pas d’aller au village sponsor pour apercevoir des stars à Roland Garros. Parfois, en scrutant bien l’allée centrale qui conduit du cours Philippe Chatrier au cours Suzanne Lenglen, on peut facilement voir défiler des people ou anciens joueurs. Certains optent pour la non-discrétion comme Cédric Pioline. Certains sont très naturels, comme l'acteur Zinédine Soualem. Et d’autres sont beaucoup plus vicieux… Yannick Noah par exemple. L’ex-tennisman aujourd’hui chanteur, se risque parfois à fondre la foule "style incognito", en version "Monsieur tout le monde", avec un béret bien vissé sur sa tête, légèrement incliné pour cacher les yeux et une allure rapide et furtive… Pense-t-il réellement que personne ne l’a repéré ? Toujours est-il qu’il marche tellement vite, que les passants qui se retournent n’ont pas le temps de réaliser et de le héler. Malin Yannik !