XV de France : Ntamack vit un cauchemar, Dupont vole à son secours
Thibault Morlain

Victime d'une rupture du ligament croisé en août dernier, Romain Ntamack avait dû déclarer forfait pour la Coupe du monde avec le XV de France. Un véritable cauchemar pour le demi d'ouverture du Stade Toulousain qui était alors parti pour un calvaire long de plusieurs mois. Toutefois, Ntamack a pu compter sur de précieux soutiens, à commencer par celui d'Antoine Dupont.

En un instant, tout s'est écroulé pour Romain Ntamack. Alors que le numéro 10 du XV de France était impatient de disputer la Coupe du monde de rugby en France, son rêve a été brisé à quelques jours du match d'ouverture face à la Nouvelle-Zélande. En effet, en préparation, le joueur de Fabien Galthié s'est rompu le ligament croisé du genou et a dû déclarer forfait. Un cauchemar que Ntamack ne traverse toutefois pas seul, lui qui est très bien entouré...

« Dupont et Jelonch m'ont rassuré »

En voyant Romain Ntamack se rompre le ligament croisé du genou, Antoine Dupont a dû se remémorer certains mauvais souvenirs. En effet, il y a quelques années, la star du rugby français était déjà passée par là. Antoine Dupont a alors pu être de bon conseil pour Ntamack, au même titre qu'Anthony Jelonch. « Si j'ai pris des conseils auprès d'Antoine Dupont et Anthony Jelonch, déjà passés par là ? Oui. Surtout d’Anthony, qui était en phase de reprise quand je me suis blessé. Même si je n’ai pas voulu le montrer, j’étais inquiet et ils m’ont rassuré. En principe, avec ce genre de blessures, il n’y a pas de surprise si on respecte tout », a confié Romain Ntamack pour Le Parisien.

« Se sentir aidé, c’est déterminant dans la gestion d’une blessure »

Outre Antoine Dupont et Anthony Jelonch, Romain Ntamack a également pu compter sur le soutien de ses proches dans cette épreuve compliquée. Le demi d'ouverture du Stade Toulousain et du XV de France a alors expliqué à ce sujet : « Ils m’ont tout de suite fait comprendre qu’ils seraient présents tout le temps. Se sentir aidé, c’est déterminant dans la gestion d’une blessure. Quand je me suis blessé, j’ai senti leur peine et j’ai essayé de les rassurer en leur disant que ce n’était pas la fin du monde, que ce n’était que du sport ».

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