Après avoir battu la Nouvelle-Zélande en match d’ouverture, le XV de France va poursuivre sa Coupe du monde ce jeudi, avec la deuxième rencontre de la poule A face à l’Uruguay. Un adversaire à priori plus abordable que les All Blacks, mais qui semble bien décidé à rendre la tâche ardue aux Bleus de Fabien Galthié.
Certains pourraient penser que le plus dur est passé, avec la défaite infligée aux All Blacks sur la pelouse du Stade de France (27-13), mais ce n’est absolument pas le cas. Le plus difficile arrive en effet, puisque le XV de France devra réussir à sortir premier de sa poule, tout en arrivant à économiser au maximum les cadres de l’équipe.
XV de France : Un joueur a vécu l’enfer avant la Coupe du monde, il vide son sac https://t.co/2QEHqA4D99 pic.twitter.com/FqpNxd2VD1
— le10sport (@le10sport) September 13, 2023
« On a très envie de rentrer dans l’histoire de cette Coupe du monde »
C’est ainsi une équipe largement remaniée qui a été alignée par Fabien Galthié pour le match de ce jeudi, mais en face l’Uruguay semble préparer un mauvais coup. « On a très envie de rentrer dans l’histoire de cette Coupe du monde » a expliqué Joaquin Pastore, le sélectionneur de cette équipe de l’Uruguay. « C'est notre premier match dans la compétition et il promet d'être historique ».
« L'Uruguay arrive plus en forme que jamais »
« C'est la première fois qu'on rencontre la France, le pays hôte, qui fait partie des favoris » a poursuivi Pastore, qui va notamment compter sur le demi-de-mêlée Santiago Arata, au Castres Olympique depuis 2020. « L'Uruguay arrive plus en forme que jamais. Avant, nous étions des amateurs. Aujourd'hui, nous pouvons nous appuyer sur un bon vivier de joueurs qui sont tous professionnels ».
« Un plaisir de pouvoir commencer la compétition contre le pays organisateur »
Du côté de ses joueurs le ton ne change absolument pas, avec le talonneur des Teros qui semble très heureux d’affronter la France. « Pour nous, c'est un plaisir de pouvoir commencer la compétition contre le pays organisateur » a déclaré Guillermo Pujadas, d’après Le Figaro. « Au-delà du public et de l'ambiance, ça va être une source de motivation. On n'est pas habitués à jouer devant autant de monde mais c'est un motif d'orgueil, ça va nous pousser à donner encore un peu plus sur le terrain ».