Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont bien démarré pour l’équipe de France de basket. Les hommes de Vincent Collet se sont imposés contre le Brésil pour leur entrée en lice dans la compétition (78-66). Les Bleus feront désormais face au Japon ce mardi. Mais l’équipe de France va très certainement devoir régler un problème entre Victor Wembanyama et Rudy Gobert.
L’équipe de France de basket a bien démarré ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Les hommes de Vincent Collet se sont imposés 78-66 contre le Brésil. La sélection française affrontera désormais le Japon ce mardi. Victor Wembanyama sera naturellement attendu au tournant au vu de la qualité de sa première saison en NBA avec les San Antonio Spurs. Mais Frédéric Weis estime qu’il y a un problème à régler dans l’association que le joueur de 20 ans forme avec Rudy Gobert.
JO Paris 2024 - Basket : Une légende de la NBA émerveillée par Victor Wembanyama https://t.co/CNl5qYXyym pic.twitter.com/DK3tlP1gRV
— le10sport (@le10sport) July 27, 2024
«Il faut qu'ils se trouvent, qu'ils se comprennent»
« Depuis le début de la préparation, on reste un peu sur notre faim avec Wembanyama. Le problème, c’est qu’il y a toujours un des deux entre lui et Rudy [Gobert] qui prend des fautes. C'est un peu déstabilisant par rapport à ça avec cette association. J'aime cette capacité qu'ils ont à se trouver. Je trouve que c'est hyper intéressant. Et je pense que dans le futur, on va avoir une relation hyper sympa avec ces deux grands-là. Il faut continuer. Et peut-être que ça ne sera pas sur ces Jeux-là, malheureusement. Peut-être que ce sera un petit peu plus tard. Car cette relation est hyper jeune. Il faut qu'ils se trouvent, qu'ils se comprennent. Et qu'ils travaillent » a indiqué l’ancien pivot français dans des propos rapportés par Eurosport.
«Je pense que je rends déjà mes coéquipiers meilleurs»
Avant le début des Jeux Olympiques de Paris 2024, Victor Wembanyama affichait clairement ses objectifs pour la France. « Personnellement, je vis pour l'exploit, la grande réussite, pas pour les petites victoires de tous les jours, même si on prend (sourire). Je pense que je rends déjà mes coéquipiers meilleurs. En tout cas, je fais le maximum pour y parvenir. Je ne suis pas au niveau de quelqu'un qui se prétendrait le meilleur joueur du monde. Je ne suis pas encore ce joueur. Mais c'est ma volonté de suivre cette voie pour m'en approcher le plus possible, le plus vite possible. Car je sais que c'est ça qui permet de faire passer une dimension supplémentaire à une équipe. Cela passe par l'élévation du collectif, pas des individus » expliquait le joueur de l’équipe de France.