Champion du monde de F1 en 2005 et 2006, Fernando Alonso a une carrière plutôt bien remplie dans le sport automobile. À 41 ans, l'Espagnol fait preuve d'une longévité impressionnante. Malgré tout, le pilote d'Aston Martin avoue avoir quelques regrets, notamment concernant son passage chez Ferrari entre 2010 et 2014 où il était tout proche de battre Sebastian Vettel.
Double champion du monde de F1, Fernando Alonso a une carrière plutôt bien remplie dans le sport automobile. Champion des 24 Heures du Mans en 2018 et 2019, l’Espagnol a également pu participer à quelques courses d’IndyCar, de WEC ou encore de Dakar. Revenu en F1 en 2021, le pilote de 41 ans continue de démontrer une longévité impressionnante. Fernando Alonso était notamment l’une des sensations du début de saison avec Aston Martin, avant que l’écurie ne subisse une baisse de performance soudaine. Mais malgré ses nombreux succès dans le sport automobile, l’Espagnol avoue avoir un regret dans sa carrière.
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— le10sport (@le10sport) August 17, 2023
«Nous étions à quelques tours de remporter le championnat»
« Gagner un championnat avec Ferrari, ce serait probablement la première chose que je choisirais, si je pouvais remonter le temps. 2010, 2012, nous étions à quelques tours de remporter le championnat. En faisant une ou deux choses différentes dans certaines courses, cela aurait probablement changer le résultat de beaucoup de choses, l’histoire derrière certaines choses qui ont été dites sur mes choix de carrière » a expliqué Fernando Alonso dans des propos rapportés par NextGen-Auto.
Ferrari n'y arrive plus
En 2010, Fernando Alonso était tout proche de décrocher un troisième titre de champion du monde. Mais finalement, Sebastian Vettel l’a surclassé, notamment dans les deux dernières courses de la saison. Seulement quatre points séparaient les deux pilotes. En 2012, l’Espagnol était encore tout proche de rapporter le graal chez Ferrari. Mais une nouvelle fois, Sebastian Vettel s’est imposé avec trois petits points d’avance. Ces succès auraient pu contribuer à maintenir la Scuderia au sommet de la F1. Au lieu de ça, l’écurie italienne a sombré petit à petit et n’arrive plus vraiment à se battre pour des victoires désormais.