Charles Leclerc fait les gros titres de la presse italienne ces derniers jours. Le pilote monégasque, troisième à Bakou, ne serait plus épanoui chez Ferrari et songerait à quitter la Scuderia. Pour un journaliste transalpin, il négocierait même son prochain contrat avec Mercedes.
L'avenir de Charles Leclerc demeure très incertain. Lassé des déboires de sa monoplace et d'une hiérarchie pas établie qui permet à Carlos Sainz de jouer sa carte, le Monégasque serait résigné à l'idée de devenir champion du monde avec Ferrari, bien qu'il assure le contraire en public. Dans le paddock, le bruit court que le vice-champion du monde pourrait s'en aller prochainement. Partir certes, mais pour aller où ? Leo Turini, un journaliste italien très informé sur Ferrari, a révélé en début de semaine passé que Leclerc négociait déjà un futur contrat avec... Mercedes !
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— le10sport (@le10sport) May 3, 2023
«Il négocie avec Mercedes»
« C’est un secret de polichinelle que Leclerc pourrait être sur le départ car il négocie avec Mercedes F1. Tout le monde le sait, y compris à Maranello. Leclerc comprend que le temps presse et si Lewis Hamilton décide de partir, à la retraite ou chez Ferrari, alors Mercedes voudra trouver un pilote de haut niveau pour l’associer à George Russell », a déclaré la journaliste transalpin. Chez Ferrari, on ne craint pas de perdre Charles Leclerc.
«Je n’ai pas du tout peur de le perdre»
« Je vous ai dit avant les essais hivernaux que nous le ferons au cours de la saison. Il est sous contrat avec nous pour encore plus d’un an à partir de maintenant, nous avons le temps d’en discuter. Et je n’ai pas du tout peur de le perdre, je pense juste que ce n’est pas le bon moment pour le faire. Je l’aime bien. Honnêtement, nous avons eu une bonne discussion et pour moi sa frustration est positive. Il fait clairement partie du projet, vous savez. Il n’est pas spectateur. Il est impliqué dans le développement de l’équipe, il fait partie du développement parce qu’il se développe lui-même. C’est un contributeur à la performance, en piste et hors piste. Et tant qu’il jouera ce rôle, nous sommes sur la bonne voie », a assuré Frédéric Vasseur à Bakou. Le feuilleton ne fait que commencer...