Zidane à Paris, Platini répond cash
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Dernier porteur de la flamme olympique en 1992 aux Jeux Olympiques d'hiver d'Albertville, Michel Platini a pris position pour Paris 2024. Selon lui, cette responsabilité devrait revenir au sportif français le plus connu au monde. Champion du monde 1998 et ancien entraîneur du Real Madrid, Zinédine Zidane cocherait toutes les cases.

C’est le secret le mieux gardé de ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Qui sera le dernier relayeur de la flamme ? Plusieurs noms sont cités dans les médias, notamment celui de José-Marie Pérec, triple championne olympique, mais aussi celui de Martin Fourcade, le biathlète, multimédaillé. Mais comme indiqué par le Midi-Libre, le grand favori se nomme Zinédine Zidane. Champion du monde 1998, l’ancien coach du Real Madrid mérite cette distinction selon Michel Platini, lui-même dernier porteur de la flamme olympique en 1992, aux Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville.

Pour les JO, Platini a fait son choix

« Celui qui allumera la flamme à Paris doit être le Français le plus connu au monde. En 1992, Jean-Claude Killy avait pensé à moi parce que j’étais le Français le plus connu dans le monde. Zidane est très connu dans le monde, ce serait très bien. Je désignerais Zidane » a déclaré l’ancien président de l’UEFA dans les colonnes du quotidien régional.

Platini donne ses conseils

Après avoir dévoilé son choix, Platini a apporté des conseils au futur relayeur. « Moi j’ai monté beaucoup de marches. Qu’il s’entraîne (rires), surtout si c’est un ancien. Ce n’est pas si facile que ça. Il y a l’adrénaline, le stress, l’anxiété. Tout dépend aussi de ce qu’il devra faire. Je le répète, moi j’ai monté beaucoup de marches en tenant un enfant dans la main et la torche dans l’autre. Mais quoi qu’il arrive, ça restera un grand souvenir pour celui ou celle qui le fera » a-t-il confié ce lundi. Réponse vendredi pour connaître l'heureux élu.

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