Vente du FC Nantes : Le choix est fait à «100%», le clan Kita balance !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Vice-capitaine de Liverpool, Trent Alexander-Arnold pourrait débarquer en Ligue 1. Non pas pour poursuivre sa carrière de joueur, mais en tant que nouveau propriétaire du FC Nantes. A l'instar d'un Kylian Mbappé, le joueur aimerait racheter le club à Waldemar Kita, qui, malgré ses nombreux démentis, serait à l'écoute de la moindre proposition.

Après l’ASSE, un autre club historique du football français serait sur le point d’être racheté. Selon les informations de L’Equipe, le FC Nantes serait dans le viseur de Trent Alexander-Arnold, actuel vice-capitaine de Liverpool. Dernièrement, le joueur anglais se serait entretenu avec Waldemar Kita et aurait même transmis, oralement, une offre de 100M€. Alors info ou intox ? Contacté, Waldemar Kita n’a pas masqué son étonnement.

Kita sort du silence

« Si cela est vrai ? Mais ce sont des conneries tout ça ! D’où ça sort ? Comment voulez-vous qu’un homme sérieux qui désire acheter un club passe par un journaliste ? Trent Alexander-Arnold ? Mais je ne connais même pas ! Je viens de discuter avec mon avocat, je lui ai demandé : « Qui est ce mec-là ? ». Je n’ai jamais fait de visio-conférence avec qui que ce soit. Jamais de la vie. C’est du n’importe quoi. Mais comment voulez-vous que dans ce genre d’affaire, avec de telles sommes… Ce n’est pas sérieux. » a confié le propriétaire du FC Nantes à Ouest-France.

Un proche lâche une grande annonce

La famille Kita a aussi démenti cette information auprès de L’Equipe. Mais une autre source proche de l’homme d’affaires franco-polonais affirme le contraire. Le dirigeant serait vendeur à « 100%» selon ce proche du dossier contacté par Ouest-France. Pour rappel, Kita avait déjà négocié son départ en 2019. Les négociations avec LFE Football Group ­Limited étaient tombées à l’eau car ce fonds d'investissement ne ­présentait pas « le minimum de garanties bancaires ­exigées par la DNCG ».

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