Il y a un an maintenant, Christophe Galtier avait vu un scandale raciste éclater le concernant. Des révélations étaient sorties du temps où il était l’entraîneur de l’OGC Nice. Un mail mettant en cause le technicien français avait d’ailleurs été révélé par Romain Molina ou encore Daniel Riolo. Galtier avait alors décidé de contre-attaquer en portant plainte contre eux. Mais aujourd’hui, c’est visiblement de l’histoire ancienne.
Mis en cause pour des faits de racisme et de harcèlement, Christophe Galtier avait clamé son innocence. La justice française a d’ailleurs fini par relaxer l’ancien entraîneur du PSG. Ce dernier s’était défendu face aux accusations, décidant notamment d’attaquer en justice Daniel Riolo ou encore Romain Molina, eux qui avaient publié le mail mettant en cause Galtier. Où ça en est aujourd’hui ? La question a été posée au technicien français.
PSG : Luis Enrique flambe, Galtier règle ses comptes ! https://t.co/MBNtbkHWSA pic.twitter.com/10545zbw2s
— le10sport (@le10sport) May 4, 2024
Des procédures abandonnées
Alors que Christophe Galtier avait déposé plainte contre Daniel Riolo et Romain Molina pour « diffamation » « dénonciation calomnieuse » et « risque causé à autrui », ce n’est aujourd’hui plus d’actualité. En effet, ce samedi, dans un entretien accordé à L’Equipe, Galtier a fait savoir : « J'ai pris la décision de demander à mes avocats de ne pas donner suite à ces procédures ».
« Je suis redevenu heureux »
« Pour quelle raison ? J'avais un objectif : faire reconnaître mon innocence et mon parfait respect des valeurs humaines et sportives. La justice a répondu à mon attente, dans sa décision du 21 décembre. Elle a déjà perdu suffisamment de temps et de moyens avec cette triste affaire. Même si je n'arriverai jamais à comprendre comment un être humain peut faire autant de mal, tout ce que l'on a pu endurer, ma famille, mes proches et moi-même, doit rester derrière nous. Je regarde désormais devant moi. Je vis, je dors et je me nourris football. Je suis redevenu heureux », a alors expliqué Christophe Galtier.