Signature à l'OM : «Même le transfert, on ne sait pas le payer», le terrible aveu face aux médias !
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

La dernière semaine du mercato approche à grands pas et les rumeurs les plus folles également. Lors d'un point presse vendredi, Olivier Létang s'est moqué du feuilleton Benjamin Pavard au LOSC alors que le champion du monde français de l'Inter semble être dans les petits papiers de l'OM.

Outre le dossier Adrien Rabiot imprévu, mais qui est devenu une vente prioritaire après sa bagarre avec Jonathan Rowe, le comité directeur de l'OM a du pain sur planche pour cette dernière ligne droite du mercato estival qui fermera ses portes le 1er septembre prochain. Une recrue en défense centrale est attendue depuis plusieurs semaines et la piste privilégiée mène au Club Bruges et à Joel Ordonez.

«Je vais répondre par l'absurde en fait»

En cas d'échec avec le défenseur équatorien, les dirigeants marseillais jetteraient leur dévolu sur Benjamin Pavard si l'on se fie aux récentes informations de L'Equipe. Et hormis l'OM, un retour au LOSC, son club formateur est-il possible pour le champion du monde 2018 ? Olivier Létang s'en est amusé. « Un retour de Pavard au club ? Est-ce une piste sérieuse ? Il devrait arriver lundi, Benjamin. C'est une bonne nouvelle (ndlr il laisse un silence avant de rire). Je vais répondre par l'absurde en fait, j'ai vu, j'ai lu des choses, j'ai appelé Benjamin, on s'est parlé ».

«On ne sait pas le payer»

Ce vendredi, le président du LOSC a profité de sa présence en conférence de presse dans le but de signifier à quel point cette opération est tout bonnement irréalisable. « Même le transfert, on ne sait pas le payer. Quand certains partent dans des diatribes absolument magnifiques... Non, il y a des choses qui sont possibles et d'autres qui ne le sont pas. Ce serait formidable, je le lui ai dit, j'adorerais qu'il revienne chez nous aujourd'hui. Mais il y a des considérations économiques qui sont aujourd'hui impossibles à réaliser ». L'OM peut souffler.

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