Alors que le PSG s'active pour renforcer son secteur offensif, les dirigeants parisiens s'occupent également des départs de joueurs sur lesquels ils ne comptent pas. En ce sens, Mauro Icardi est invité à trouver une porte de sortie. Après une saison pleine du coté de Galatasaray, l'Argentin négocie avec le club turc pour s'y installer définitivement.
Arrivé au PSG à l'été 2020 en provenance de l'Inter Milan, Mauro Icardi aura réussi six premiers mois de grande qualité. Néanmoins, la suite de son aventure parisienne a tourné au fiasco. À court de forme physique pendant une longue période, le buteur argentin a tenté de se relancer du côté de Galatasaray la saison dernière. Mission réussie.
Le PSG vise un transfert surprise, ça sera 20 M€ https://t.co/NBYqrgVIBj pic.twitter.com/1YZnabQam2
— le10sport (@le10sport) June 26, 2023
Galatasaray fait le forcing
L'adaptation de Mauro Icardi au championnat turc n'aura pas duré longtemps. Sous les ordres de Okan Buruk, l'attaquant a retrouvé sa confiance de buteur et a réussi à enchainer les bonnes prestations. Un prêt sans option d'achat qui amène les dirigeants de Galatasaray à envisager le recrutement définitif de l'Argentin. Selon le journal turc Hurriyet, l'offre salariale a été augmenté à hauteur de 7,5M€ par an pour Mauro Icardi. Une proposition qui a pour but de convaincre le buteur de s'installer durablement en Turquie.
Icardi est emballé par la Turquie
Alors que le choix de Mauro Icardi semblait par défaut la saison dernière au vu des exigences du clan argentin, celui-ci s'est révélé payant. Le principal intéressé se plait en Turquie. Toujours selon les informations d'Hurriyet, l'agente de Mauro Icardi, Wanda Nara, continue de donner des signaux positifs aux dirigeants de Galatasaray. Un potentiel transfert qui permettrait au PSG de renflouer légèrement ses caisses alors que de grosses dépenses sont prévues lors de ce mercato estival du côté parisien. D'autres départs sont attendus dans les prochaines semaines pour permettre au nouvel entraineur du club de la capitale, Luis Enrique, de travailler dans les meilleures conditions.