Cet été, le PSG a opté pour plusieurs choix forts sur le mercato en décidant notamment de se séparer de Neymar et Lionel Messi. Une stratégie qui n'est pas forcément comprise par l'ensemble des observateurs, à commencer par Fabrice Pancrate qui estime qu'ils avaient encore leur place au PSG.
En décidant de pousser certaines de ses cadres des précédentes saisons tels que LionelMessi, Neymar ou encore MarcoVerratti, le PSG a pris un virage à 180 degrés lors du dernier mercato estival. L'objectif affiché est clair : insuffler un nouvel élan au projet, qui n'avance plus sur le plan européen depuis maintenant plusieurs années. Mais tout le monde n'est pas forcément en accord avec cette stratégie chez les anciens joueurs du PSG...
Un gros danger attend le PSG ! https://t.co/b17sOIbeaC pic.twitter.com/8YJje4dnwY
— le10sport (@le10sport) October 4, 2023
« Leurs départs n'étaient pas forcément inévitables »
Interrogé par RMC Sport, Fabrice Pancrate estime que Neymar et Messi pouvaient encore apporter au PSG : « Pour moi ce n’était pas forcément inévitable. C’est un choix de la part du club afin de lancer un nouveau projet mais ce n’était pas inévitable. On parle de stars du football, de joueurs qui ont gagné la Ligue des champions et de nombreux trophées. On parle de vraies stars et surtout de très très bons footballeurs. Ce n’était pas inévitable mais c’est juste un choix de la direction. SI l’on croit certaines choses dans les journaux, il y a le projet Ile-de-France aussi qui a fait qu’ils sont arrivés à cette décision », indique l'ancien attaquant du PSG.
« Je reste un peu sur ma faim »
Pancrate poursuit à ce sujet : « Après je n’ai pas tous les tenants et aboutissants pour savoir qu’elles ont été les raisons des départs de ces deux joueurs. On en devine un peu les rouages et je vais dire que c’est un peu dommage parce que je reste un peu sur ma faim en les voyant partir comme ça pendant l’été. Pour moi, ils auraient dû rester au club. Mais bon… la direction en a décidé autrement parce qu’un autre projet s’installait. Donc, comme on dit, on s’adapte ». Le message est passé...