Un an après avoir rejoint l'OM, Roberto De Zerbi fait état d'un bilan plutôt positif. Même si rien n'a été facile, il a réussi à ramener l'OM sur la deuxième place du podium de Ligue 1 derrière le PSG. Parfois critiqué, il s'apprête à démarrer sa deuxième saison sur le banc marseillais avec de belles ambitions. Lorsqu'il évoluait encore à Brighton, Jennifer Mendelewitsch a eu l'occasion d'échanger avec lui.
Auteur de prestations remarquées à Brighton, Roberto De Zerbi a tapé dans l'œil de l'OM qui lui a réservé un magnifique accueil l'année dernière. L'Italien vient de réaliser une longue interview pour L'Equipe dans laquelle il se livre à propos de sa passion et de son rôle d'entraîneur. L'agent de joueurs française Jennifer Mendelewitsch a déjà pu avoir une conversation privée avec lui, elle raconte.
De Zerbi à fond dans son projet
A son arrivée, Roberto De Zerbi n'a pas mis longtemps à se faire entendre. L'Italien a su construire un bel effectif pour jouer rapidement les premiers rôles en Ligue 1. Même si les choses se sont gâtées, il a une belle relation avec ses joueurs. « J’ai eu la chance de le rencontrer et de discuter avec lui pendant plus d’une heure quand il était à Brighton. On était en discussion pour faire venir un joueur. Et en fait quand on lit cette interview, on comprend qu’elle est sincère, il est comme ça dans la vie. Il ne se cache pas. Il arrive à transmettre énormément de choses à ses joueurs, mais c’est vrai que c’est la personne qui peut péter un câble aussi très rapidement, dégoupiller rapidement » révèle Jennifer Mendelewitsch dans l'After Foot de RMC.
« Il peut partir »
La saison dernière, il y a parfois eu des moments de doutes concernant l'OM. Roberto De Zerbi n'a jamais hésité à prendre la parole, quitte à être cru et menacer de partir. « Quand il n’est pas satisfait de ce que lui donnent ses dirigeants, il peut partir. On sait justement que ça ne s’est pas très bien fini à Brighton car il estimait que sa direction ne le mettait pas dans les meilleures conditions et il n’a pas eu peur de partir » poursuit Jennifer Mendelewitsch.