Mercato - OM : Clauss dévoile ses échanges avec Longoria avant son transfert
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après avoir découvert la Ligue 1 il y a deux ans avec le RC Lens, Jonathan Clauss est passé à l’étape supérieure cet été en rejoignant l’OM. Déjà parfaitement intégré dans son nouveau club, l’international français s’est confié sur les raisons qui l’ont poussé à aller à Marseille et sur l’importance de Pablo Longoria dans son choix.

L’effectif de l’Olympique de Marseille a beaucoup bougé cet été. Parmi les nouveaux arrivants, il y a notamment Jonathan Clauss. Après deux saisons réussies au RC Lens, le latéral droit de 29 ans s’est engagé avec l’OM cet été contre environ 7,5M€ hors bonus. Il a également fait des efforts financiers afin que ce transfert puisse se réaliser.

Il a baissé son salaire pour rejoindre l’OM

Une information qu’il avait confirmée lors d’un entretien accordé à Canal+ : « Oui j’ai baissé mon salaire. Il y a eu des discussions. On s’est appelé plusieurs fois. J’avais un objectif, c’était de venir ici. J’ai jamais été gourmand dans ma vie. Aujourd’hui, l’argent c’est très bien, je sais que ça va me permettre de vivre tranquillement, mais ce n’est pas ma première motivation. Ça s’est fait naturellement, il n’y a pas eu de problèmes en particulier. »

Longoria, une importance primordiale

De plus, un homme a beaucoup compté dans la décision de Jonathan ClaussPablo Longoria. « Quand il m’a appelé, j’ai senti qu’il voulait faire de Marseille, qui est déjà un grand club, un club encore plus grand (il répète, geste à l’appui). Il me disait : « Quand je vois ton jeu, j’ai l’impression que tu en veux encore plus. » Et moi, j’ai appris à être comme ça depuis petit : à partir du moment où j’ai eu la chance de gratter un petit niveau par-ci par-là, j’ai pris goût à vouloir encore grimper. Évidemment, l’échelle est différente : lui est président, moi joueur », a-t-il confié au Parisien.

Articles liés