Mercato : L’OM lâche 12M€, il dénonce un problème
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après avoir cédé Renan Lodi à Al-Hilal, l’OM a décidé de s’attacher les services de Quentin Merlin cet hiver. L’ancien du FC Nantes est arrivé dans un contexte compliqué, mais selon Fabien Laurenti, son problème vient surtout de son positionnement. À l’image de Jonathan Clauss, l’ancien marseillais estime que celui qui a été formé au poste d’ailier est plus un piston qu’un latéral gauche.

Il n’est jamais facile de s’adapter à l’OM et Quentin Merlin a en plus dû le faire dans un contexte particulier. Arrivé cet hiver en provenance du FC Nantes dans le cadre d’un transfert estimé à 12M€, l’international espoirs français a vu Gennaro Gattuso quitter son poste seulement un mois après qu’il a posé ses valises à Marseille. Ce qui n'a probablement pas favoriser son adaptation.

« On n’a pas encore vu son vrai visage »

« À sa signature, un jeune joueur avec une belle marge de progression, je trouvais que la pioche était bonne. Le contexte marseillais, le changement d’entraîneur… Les raisons sont multiples, mais on n’a pas encore vu son vrai visage. Il ne fait pas de matchs catastrophiques, mais il peut faire beaucoup mieux. Par contre, il va falloir qu’il se lâche », a confié Fabien Laurenti à La Provence.

« À mes yeux, c’est surtout un piston »

Selon l’ancien joueur de l’OM, Quentin Merlin est également plus à l'aise dans une défense à cinq, en tant que piston : « À mes yeux, c’est surtout un piston. Défendre, c’est un métier. On ne va pas révolutionner un joueur du jour au lendemain. Il faut avoir le truc de défendre, pour bien se positionner, anticiper, être bon dans l’impact. Si on ne l’a pas en soi, ça peut s’apprendre. Quand il est aligné dans une défense à quatre, quand il se retrouve en un contre un, proche de sa surface, ça devient compliqué. C’est un point majeur sur lequel il doit travailler. »

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