Après un mois d’août très compliqué, l’OM a parfaitement négocié celui de septembre, avec quatre victoires et une seule défaite, face au Real Madrid (2-1). Battu par l’OL (1-0) avant la dernière trêve internationale, le club ne voulait pas céder à la panique pour autant, insistant sur la fin du mercato, durant laquelle on a vu Benjamin Pavard, Nayef Aguerd, Emerson Palmieri, Arthur Vermeeren et Matt O'Riley arriver.
Fort de trois victoires consécutives toutes compétitions confondues, contre le PSG (1-0), Strasbourg (1-2) et l’Ajax Amsterdam (4-0), c’est plein de confiance que l’OM se rend à Metz ce samedi, pour le compte de la cinquième journée de Ligue 1. Il y a à peine un mois, c’est pourtant un début de crise qui semblait pointer le bout de son nez, après une défaite sur la pelouse de l’OL (1-0), la deuxième d’août.
Une fin de mercato qui a tout changé
Comme indiqué par L’Équipe, même avant le déplacement à Lyon, l’OM ne voulait pas céder à la panique et écartait la possibilité d’une crise en cas de défaite contre les Gones. Le club marseillais assurait que les joueurs étaient « insensibles » à ce qui se disait dans les médias et insistait sur la fin du mercato qui fermait ses portes le lendemain, avec les arrivées, on ne le savait pas encore, de Benjamin Pavard, Nayef Aguerd, Emerson Palmieri, Arthur Vermeeren et Matt O'Riley bouclées ce jour-là.
« Ce qui a changé, c'est que des joueurs forts et des bons gars, sympas, sont arrivés »
Des renforts de poids alors que certains sont déjà devenus des cadres de l’OM et d’autres ont affiché de belles promesses. « Ce qui a changé, c'est que des joueurs forts et des bons gars, sympas, sont arrivés. Ils ont apporté leur enthousiasme, leur optimisme, et on était impatients d'avoir des joueurs de ce niveau pour repartir », confiait Roberto De Zerbi vendredi en conférence de presse.