Mercato - ASSE : Caïazzo et Romeyer sont encore interpellés pour la vente du club
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Depuis de très longs mois, la vente de l'ASSE est annoncée, sans que rien n'ait été bouclé pour le moment. Résultat, les Vers sont lanternes rouges de Ligue 2. Par conséquent, Pierre Ménès interpelle Roland Romeyer et Bernard Caïazzo qui sont toujours propriétaires du club.

Cela fait désormais de très longs mois que l'ASSE est en vente... sans que rien ne se concrétise jusque-là. Et pourtant, plusieurs investisseurs auraient manifesté leur intérêt, mais à chaque fois, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo ont mis leur veto pour différentes raisons. Désormais, les Verts végètent en Ligue 2 où ils sont actuellement lanternes rouges et donc en grand danger à mi-saison. Une situation qui exaspère Pierre Ménès qui ne comprend pas comment l'ASSE a pu autant sombrer, et n'hésite pas à pointer du doigt le comportement des deux copropriétaires du club du Forez. 

 «On voit cette volonté de vendre sans vouloir vendre»

« Il n'y a pas grand-chose de nouveau à dire si ce n’est accabler Caiazzo et Romeyer qui, dans le tas, ont forcément eu au moins une offre de rachat intéressante. Ils ont forcément aussi eu des pimpins (sic), mais on voit cette volonté de vendre sans vouloir vendre et de faire de l’argent avec un truc qui a perdu incroyablement de sa valeur », lance le journaliste sur sa chaîne YouTube, avant de poursuivre.

«On va faire quoi, virer Batlles ?»

« C’est catastrophique. C’est très médiocre, j’ai vu le match contre Rodez et ça fait mal de voir un club aussi prestigieux jouer de la sorte. On va faire quoi, virer Batlles ? Pas certain que ça apporte grand-chose. Maintenant, il faut faire très attention pour sauver ce qu’il a à sauver, rester dans une situation financière correcte et se maintenir en L2 en faisant le dos rond pour attendre des jours meilleurs », ajoute Pierre Ménès.

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