Les larmes aux yeux, il craque après son transfert à l’OM
Thibault Morlain

A la recherche d’un attaquant, l’OM a obtenu ce qu’il voulait lors du dernier mercato hivernal. Pablo Longoria est alors allé chercher Vitinha au Portugal, lâchant 32M€ à Braga pour recruter le buteur. Le Portugais a ainsi posé ses valises à Marseille en janvier, mais ça n’a pas été simple pour lui de quitter son cocon. Au point d’avoir les larmes aux yeux au moment de revenir sur son choix de rejoindre l’OM. 

Depuis janvier dernier, Vitinha est donc un joueur de l’OM. Alors que le Portugais évolue précédemment à Braga, il a ainsi rejoint le club phocéen. Le début d’une nouvelle vie pour l’attaquant de 23 ans. Mais ça n’a pas été simple pour lui. En effet, à Braga, Vitinha avait tout à proximité. Il a donc fallu quitter famille et amis et forcément, cela a énormément pesé sur lui à Marseille… 

« C’était très difficile quand je suis venu ici »

Dans un entretien accordé à Free Ligue 1, Vitinha est revenu sur son transfert à l’OM. Et c’est avec les les larmes aux yeux qu’il a raconté ce moment : « Comment on quitte son pays et on choisit Marseille ? C’est très difficile. Je très proche de ma famille et de mes amis. Quand j’ai eu la certitude de venir à Marseille, je n’ai même pas appelé mes parents parce que je n’osais pas leur dire. J’ai appelé mon frère, il a répondu et je lui ai dis que je vais voyager à Marseille, je vais jouer à Marseille, et j’ai raccroché car je n’arrivais plus à parler. Ça n’allait pas, c’était très difficile quand je suis venu ici ». 

« C’était une des choses qui m’a le plus coûté et qui a le plus entravé mon adaptation ici à Marseille »

« Mon adaptation a été très difficile parce que je suis loin d’eux, c’est un nouveau club, une nouvelle ville, ça a été dur parce que j’ai quitté les personnes que j’aime, et c’est difficile d’être loin d’eux. Car à Braga, j’étais dans mon confort, tranquille, parce que j’avais tout le monde à mes côtés, mes parents étaient à une demi-heure de chez moi, à la fin de l’entraînement je pouvais aller les voir. Ce n’est plus possible maintenant et ça m’a beaucoup affecté, il m’a fallu longtemps pour accepter ça. C’était une des choses qui m’a le plus coûté et qui a le plus entravé mon adaptation ici à Marseille », a poursuivi Vitinha

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