Le RC Lens a bouclé un transfert de dernière minute
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Cet été, le RC Lens a vécu un mercato plus qu'agité dans la foulée d'une magnifique saison. Il a ainsi fallu remplacer Loïs Openda, meilleur buteur des Sang-et-Or, ce qui a été long à se dessiner. C'est finalement Elye Wahi qui a débarqué pour près de 40M€ bonus compris, ce qui en fait le transfert le plus cher de l'histoire du club artésien. Et le frère de l'ancien Montpelliérain raconte les coulisses de cette opération qui s'est décidée au dernier moment.

Après une saison historique, le RC Lens se retrouvait face à un mercato crucial, surtout après les départs de Seko Fofana et Loïs Openda. Les Sang-et-Or ont notamment mis du temps avant de trouver un nouveau buteur, et c'est finalement Elye Wahi qui a débarqué en provenance du MHSC. Après quelques semaines d'adaptation, l'international Espoirs a trouvé sa place comme en témoigne sa prestation contre Arsenal (2-1). Avec un but et une passe décisive, l'ancien Montpelliérain a brillé, pour le plus grand bonheur de son frère, Herman, qui dévoile les coulisses du transfert.

«Lens, ça s’est fait à la dernière minute»

« Lens, ça s’est fait à la dernière minute, ce n’était même pas dans les startings blocks (au début du mercato), il y avait d’autres clubs. On aimait Lens parce qu’il y a la famille en France, et il fallait encore continuer la formation en France. C’est la patience et il a compris le projet. Lens est une ville formidable, la région aussi. Il ne manque de rien, il va continuer à travailler pour être encore exceptionnel sur le terrain », lance le frère de l'attaquant du RC Lens au micro de l'After Foot sur RMC, avant d'en rajouter une couche.

«Lens est une ville formidable. Il ne manque de rien ici»

« C'est le haut niveau, donc il a besoin de la famille, affirme le frère d’Elye Wahi. Il s'appuie beaucoup sur la famille. Il attendait son heure, et c'est arrivé aujourd'hui. Le public lensois l'a bien accueilli, avec leur hospitalité », ajoute Herman Wahi avant d'assurer que « même à Chelsea il aurait eu sa place ! On a aussi choisi Lens parce qu'il y a la famille en France et il fallait encore rester dans la continuité en restant en France. La patience, c'est le mot. Il a compris le projet et Lens est une ville formidable. Il ne manque de rien ici ».

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