Le PSG signe un crack, il balance tout
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Recruté libre par le PSG en début de mercato estival, le jeune Cher Ndour s’offre donc une nouvelle étape importante dans sa carrière. Et le milieu de terrain italien de 19 ans s’est confié sans détour sur les coulisses de son arrivée au PSG, qui a été négociée en famille avec ses parents.

Au même titre que MilanSkriniar et MarcoAsensio, Cher Ndour a été recruté par le PSG sans indemnité de transfert puisqu’il était arrivé au terme de son contrat avec le BenficaLisbonne en fin de saison dernière. Jeune milieu de terrain italien de 19 ans, Ndour va essayer de gagner sa place dans la rotation de LuisEnrique, et dans un entretien accordé à La Republicca lundi, il a raconté les dessous de son transfert au PSG.

« Nous étions à table avec mes parents »

« La première fois que mon agent nous a dit que le PSG me voulait, nous étions à table : mes parents étaient là aussi, on a tous cru qu'il plaisantait. Quand cela arrive, tu penses juste que tu es heureux. Je voudrais gagner la Ligue des champions. Et jouer une coupe du monde. Alors je serais heureux », a indiqué CherNdour, qui a donc été très enthousiaste à l’idée de rejoindre le PSG.

« Sortir de ma zone de confort »

Et le jeune international espoirs italien précise ne pas avoir eu peur de quitter le Benfica : « Pas vraiment. Si je prends une décision, je ne regarde pas en arrière. J'aime sortir de ma zone de confort. J'aimais aussi l'idée que je ne connaissais même pas la langue. Aux premiers entraînements au Benfica, il y avait le directeur sportif qui parlait un peu italien et m'aidait. Pour parler à mes coéquipiers, j'ai mélangé un peu d'italien et un peu d'anglais, mais en tout cas j'ai créé de vraies relations. Maman et papa me laissent toujours décider. Ils me conseillent, mais le dernier choix est le mien. […] Mais ils ont toujours été très présents », poursuit Ndour.

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