Il quitte le PSG et hallucine après son transfert
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Arrivé en 2012 au PSG dans l'ombre géante de Zlatan Ibrahimovic, Marco Verratti débarquait à Paris quasiment incognito du haut de ses 19 ans. Onze ans plus tard, le milieu de terrain italien est parti en tant que légende du club de la capitale. Il reconnaît d'ailleurs que lorsqu'il a signé en provenance de Pescara, jamais il n'aurait pensé vivre une telle carrière au PSG.

Verratti ne pense pas connaître ça au PSG

Et dans une interview accordée à L'EQUIPE, le milieu de terrain italien explique d'ailleurs comment il a réussi à obtenir ce statut si rapidement : « C'est venu dès le début. Je pense que les supporters voient si tu donnes tout, si tu mouilles le maillot. Ça ne tourne pas toujours bien, mais ils voyaient mes intentions. Je n'ai jamais triché. Je ne l'ai pas fait pour faire plaisir, mais parce que c'était mon travail, ma passion depuis que j'ai 4 ans ». Marco Verratti reconnaît également qu'il n'aurait jamais pensé réaliser une telle carrière au PSG.

«Jamais je n'aurais pensé faire une telle carrière»

« Jamais je n'aurais pensé faire une telle carrière. Je sortais de l'équipe de ma ville (Pescara), en Serie B. Me retrouver ici avec de très grands joueurs a été un choc. Mais après, j'ai tout aimé. De la ville, du club. Je n'imaginais pas faire onze ans mais j'en suis fier. Je suis un affectif. Quand je suis bien quelque part, je fais tout pour rendre. C'était pareil quand j'étais petit : les grands clubs italiens me voulaient mais j'ai toujours eu envie de rester à Pescara (...) Je venais d'une petite ville, je me sentais un peu perdu avec la peur de ne pas arriver à m'habituer. Mais je me suis vite senti bien. Aujourd'hui, quand je reviens, je me dis que c'est la plus belle ville du monde », ajoute-t-il.

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