Après Matvey Safonov, le PSG tient sa deuxième recrue puisque Joao Neves va s'engager pour environ 70M€ en provenance de Benfica. Un montant qui fait jaser auprès des fans lisboètes puisque la clause libératoire du jeune milieu de terrain était fixée à 120M€. Mais Rui Costa justifie son choix, tout en affchant sa tristesse de voir partir Joao Neves.
Joao Neves sera la deuxième recrue estivale du PSG après Matvey Safonov. Le jeune milieu de terrain portugais va s'engager pour environ 70M€ pendant que Renato Sanches fera le chemin inverse. Un transfert qui fait grincer des dents du côté de Benfica, mais Rui Costa, président du club lisboète, se justifie.
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— le10sport (@le10sport) August 3, 2024
Rui Costa confirme pour Joao Neves
« Si le départ de João se concrétise, ce qui est pratiquement fait mais il y a encore des détails bureaucratiques à régler… Je comprends les critiques car l’amertume des supporters est la même que la mienne. Le départ de João ne fait plaisir à aucun membre. Les gens doivent comprendre que nous cherchons ensemble les meilleures solutions pour les deux parties. Nous avons repoussé ce transfert pendant longtemps », assure le dirigeant portugais dans des propos rapportés par Record, avant d'en rajouter une couche.
«Une somme de 70M€ ne peut pas être refusée par le club»
« Nous avons clairement rejeté les premières offres, mais nous avons atteint certains chiffres, tant pour le club que pour le joueur, qui rendent ce transfert inévitable. Une somme de 70M€ ne peut pas être refusée par le club. Quand vous perdez un joueur de la qualité de João, qui a été formé ici, cela me rend encore plus triste. Il est difficile de renoncer à ces sommes. João s’exprimera aussi sur ce transfert. Je le connais depuis qu’il a 10 ans et ça me fait très mal de le voir partir. Son comportement a été exemplaire, comme toujours (…) Tout le monde accepte que le Portugal soit un pays vendeur, mais quand on fait une vente, cela fait mal à tout le monde. Aucun transfert ne se fait sans la volonté des deux parties », ajoute Rui Costa.