Attaqué après son transfert au PSG, il sort enfin du silence
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Pour sa première sous le maillot du PSG, Bradley Barcola a été vivement chahuté. Il faut dire que le joueur de 21 ans faisait son retour à l’OL quelques jours seulement après son transfert. Un choix qu’une grande partie des supporters lyonnais n’a pas digéré. Ainsi, Barcola a été vivement insulté une fois entré en jeu. Ayant gardé le silence jusque-là, le joueur du PSG a enfin pris la parole.

« Mes choix n’enlèveront jamais ma gratitude »

Face à tout ce climat tendu autour de son transfert de l’OL vers le PSG, Bradley Barcola s’est exprimé à travers un post sur son compte Instagram. « Beaucoup de choses se sont passées ces derniers jours, ça n’a pas été facile de trouver les mots. C’est dur de faire la part des choses sur le coup, mais c’est plus clair aujourd’hui. A l’OL, en tant que club, au staff, entraineurs, éducateurs, mes anciens coéquipiers et tous les supporters qui dont la part des choses, merci pour tout. C’est aussi grâce à vous si j’ai pu arriver où j’en suis aujourd’hui. Mes choix n’enlèveront jamais ma gratitude, j’ai passé plus de 13 ans au club, à l’Académie, à donner le meilleur de moi-même quotidiennement, et ça ne s’oublie pas », a tout d’abord lâché l'ancien Lyonnais.

« Au PSG, à mes coéquipiers, aux supporters parisiens, merci de me faire sentir le bienvenu »

Désormais au PSG, Bradley Barcola a ensuite continué : « Au PSG, à mes coéquipiers, aux supporters parisiens, merci de me faire sentir le bienvenu, j’en dis peu, mais ça compte énormément pour moi. Je n’ai jamais été bon dans les longs discours, je préfère peu de mots sincères donc on va s’arrêter là. Place au terrain maintenant ».

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