PSG : Quand Pierre Ménès et Daniel Riolo clashent le PSG !
La rédaction

Le PSG réalise un début de saison moyen. Paris est déjà à sept points de l’OM en Ligue 1. Les critiquent fusent contre ce Paris qui ne domine pas le championnat…

Après neuf journées, le PSG tâtonne encore en Ligue 1. Certains joueurs ne sont pas à leur niveau. Très exposé, Paris est particulièrement critiqué. « Le PSG est loin de la tête, trop loin. Sinon on va encore s’interroger sur les changements de Blanc […] Rien de neuf chez celui qui fait office de coach au PSG », a lâché Daniel Riolo après le dernier match du PSG contre l’AS Monaco (1-1). « On attend de Laurent Blanc qu’il se comporte en véritable patron mais ce n’est pas vraiment son truc, il manque de charisme », avait ajouté Riolo quelques jours plus tôt.

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MÉNÈS SE PAYE CAVANI !

Pierre Ménès s’est de son côté beaucoup attardé sur le cas Cavani depuis le début de la saison. « À Paris, il y a quand même un problème majeur, c'est Cavani. Avant il ratait des occasions et maintenant, il n'arrive même plus à frapper dans le ballon », a expliqué Ménès récemment. Ou encore : « Cavani est nul en ce moment et n’a pas de raison de faire la gueule quand il sort. C’est plutôt Laurent Blanc qui devrait la lui faire ».

QUAND RIOLO CLASH NASSER

L’attitude d’Adrien Rabiot cet été n’a pas plu à Daniel Riolo : « Adrien Rabiot ne s’est pas exprimé dans le CFC, il a chouiné. [… ] Sa stratégie a été tellement foireuse que le PSG a été obligé de le sanctionner. Et le club a bien fait de le sanctionner, de lui claquer le beignet ». Riolo a également chargé le président du club, Nasser Al-Khelaïfi, après la victoire du PSG contre le Barça (3-2). « Nasser Al Khelaïfi s’est lâché : « C’est la plus belle victoire de ma vie ! » Rien que ça, pas moins ? […] C’est absolument délirant ce que les émotions peuvent avoir comme effets. On n’est pas passé loin du plus grand exploit de l’histoire du club. Heureusement, au moins ça, on y a échappé. Il se rend compte qu’en disant ça, le Président dévalue son club. Le transforme en petit club de rien du tout. Sans histoire, sans passé. Même le président de Nicosie n’aurait pas pu dire une chose pareille »,

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