Ce mercredi soir, le PSG a étrillé le Real Madrid en demi-finale de la Coupe du Monde des clubs. Comme l'a souligné Grégory Paisley, Lucas Beraldo était « dans un fauteuil » parce qu'il n'a pas été inquiété par les attaquants du Real Madrid, notamment Kylian Mbappé. Et pourtant, le défenseur brésilien n'est pas à l'aise face à des joueurs rapides.
Grâce à sa victoire contre le Bayern en quart de finale de la Coupe du Monde des clubs, le PSG a composté son billet pour le dernier carré. Opposé au Real Madrid de Kylian Mbappé, le club emmené par Luis Enrique a réalisé une masterclass. En effet, la bande à Ousmane Dembélé s'est imposée 4-0. Et pourtant, elle était privée de Willian Pacho et de Lucas Hernandez.
PSG-Real Madrid : Beraldo était dans un fauteuil
Pour pallier l'absence de Willian Pacho et de Lucas Hernandez, suspendus à cause de leur expulsion contre le Bayern, Luis Enrique a aligné Lucas Beraldo d'entrée face au Real Madrid. Et le numéro 4 du PSG a fait son match contre Kylian Mbappé et compagnie. S'il est en difficulté face à des joueurs rapides, Lucas Beraldo n'a pas été inquiété contre le Real Madrid. Ce que n'a pas manqué de souligner Grégory Paisley, présent dans l'émission l'After Foot ce dimanche soir.
«Il a un manque de vitesse qui est trop important»
« Beraldo est à l'aise quand le jeu va à son rythme en fait. Quand c'est une équipe qui domine et qui laisse beaucoup d'espaces dans son dos, il a un manque de vitesse qui est trop important. Il a fait un très bon match contre le Real, mais il n'y a pas eu d'intensité, il ne s'est rien passé. Il a joué dans un fauteuil. Face à une équipe qui a d'autres arguments et notamment de la vitesse, ça a été compliqué », a déclaré Grégory Paisley, ancien défenseur du PSG, sur les ondes de RMC Sport. Pour rappel, le club de la capitale a perdu contre Chelsea en finale de la Coupe du Monde des clubs. Et Lucas Beraldo a eu du mal à se montrer solide derrière lors de ce choc. Kylian Mbappé et ses partenaires de l'attaque du Real Madrid peuvent donc regretter de ne pas avoir exploité cette faiblesse du crack de 21 ans.