Depuis le début de saison, le PSG ne semble pas trop souffrir du départ de Kylian Mbappé. Il faut dire qu'un joueur assume pour le moment le rôle de successeur du Bondynois, à savoir Bradley Barcola. Encore auteur d'un doublé contre Rennes vendredi soir, l'ancien joueur de l'OL a pris une nouvelle dimension depuis le début de saison et s'impose même comme le porte-bonheur du club parisien.
Cet été, le PSG a été contraint de laisser filer Kylian Mbappé qui s'est engagé libre avec le Real Madrid. Pour le remplacer, plusieurs noms ont circulé durant le mercato. En vain puisque le club de la capitale a décidé de ne pas recruter un nouvel attaquant vedette, restant fidèle à son nouveau projet qui consiste à faire confiance à de jeunes joueurs prometteurs. Dans cette optique, un attaquant semble être l'incarnation parfaite de nouveau projet : Bradley Barcola.
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— le10sport (@le10sport) September 28, 2024
Barcola, la stat impressionnante
En ce début de saison, l'ailier français monte effectivement en puissance et a profité du départ de Kylian Mbappé pour prendre plus de place sur le front de l'attaque du PSG comme en témoignent ses statistiques : 6 buts en 6 journées de Ligue 1. Vendredi soir contre Rennes, Bradley Barcola a d'ailleurs inscrit un doublé (3-1). Et c'est une très bonne nouvelle pour le PSG. Et pour cause, L'EQUIPE révèle une statique impressionnante pour l'ancien Lyonnais qui n'a jamais perdu en club lorsqu'il a été décisif. C'est arrivé à 32 reprises pour 28 victoires et 4 nuls. Cette saison, Barcola a marqué contre Le Havre (4-1), Montpellier (6-0), Lille (3-1) et donc Rennes (3-1) pour 100% de victoires. Un vrai porte-bonheur.
Luis Enrique monte au créneau
D'ailleurs, vendredi soir après la victoire contre Rennes (3-1), Luis Enrique est monté au créneau pour Bradley Barcola qui a été un peu critiqué après un léger passage à vide : « Donne moi le nom d’un joueur qui est toujours bon dans l’histoire du football. Je ne crois pas qu’il y en ait un seul. C’est très ennuyant, surtout quand on parle d’un joueur jeune (22 ans). Mais même dans le cas d’un joueur de 30 ans en réalité, parce qu’aucun joueur ne joue bien tout le temps. Je m’excuse, mais ça m’ennuie de parler de ça (il se répète). Hier, Bradley était le diable et aujourd’hui c’est Dieu. S’il vous plait, élevons le niveau (il se répète à nouveau) ».