Pour envisager d'être réintégré au groupe de l'OM, Adrien Rabiot va devoir présenter des excuses après ce qui est arrivé. Mais voilà que quasiment deux semaines après les événements, l'international français n'a toujours pas pris la parole. De quoi agacer Daniel Riolo, qui n'hésiterait pas à clairement hausser le ton face à Rabiot s'il était dirigeant de l'OM.
Reverra-t-on Adrien Rabiot finalement sous le maillot de l'OM ? Alors que l'international français avait été placé sur la liste des transferts suite à la bagarre avec Jonathan Rowe, voilà qu'il est désormais question d'une possible réintégration. Et tout cela est parti d'une déclaration de Roberto De Zerbi après la victoire face au Paris FC. « Même s'il a fait une erreur, j'espère, et pas seulement pour la valeur du joueur mais aussi pour celle de la personne, qu'il y a les conditions pour réparer les choses (...) Je ne suis pas le seul à décider. Au contraire, c'est d'abord le club plus que l'entraîneur qui doit décider. Mais je tends la main à tout le monde. Si je peux aider à résoudre cette chose, je suis prêt à tout faire », avait balancé l'entraîneur de l'OM à propos d'un retour de Rabiot.
Rabiot va-t-il s'excuser ?
Tout serait donc encore possible pour l'avenir d'Adrien Rabiot. Mais voilà que si l'international français veut reporter le maillot de l'OM, il devra mettre de l'eau dans son vin. Il a ainsi été expliqué que Rabiot devra notamment s'excuser après son comportement. Le fait est que le joueur de Roberto De Zerbi ne l'a toujours pas fait pour le moment...
« Si je suis Benatia ou Longoria... »
Et pour Daniel Riolo, ça commence à faire long pour présenter des excuses. C'est ainsi qu'il a balancé à propos de cette affaire Adrien Rabiot lors de L'After Foot : « Rabiot, c'est bon. Les dirigeants, ça fait 10 jours qu'ils attendent les excuses, la deadline ça va quoi (...) Là maintenant, je me positionne clairement, c'est trop tard. Moi si je suis Benatia ou Longoria je lui dis : "Oh, t'as besoin de combien de temps pour réfléchir à tes excuses ?" Stop ! ».