Euro 2012 : Grèce-Russie : les tops et les flops !
La rédaction

Après un match nul et une défaite, la Grèce se devait de remporter le match contre les Russes, en tête du groupe A. Après un bon début de match russe, les grecs sont revenus des vestiaires, avec l’envie de se qualifier et pour preuve… Ils remportent ce match décisif 1 à 0 en créant la surprise et élimine les Russes de la compétition.

Les tops

Samaras, plus que présent, côté grec

Le joueur du Celtic Glasgow, rentré comme attaquant, a pris le rôle d’un latéral gauche au fur et à mesure du match. Présent dans toutes les attaques grecques il reste, néanmoins, important sur le plan défensif. Il a possèdé un bon ballon à la 52ème minute, en ressortant balle au pied mais ne cadre pas en bout de course.

Arshavin, percutant, pour les russes
Malgré que le capitaine n’ait pas inscrit de buts lors de cette rencontre décisive, l’attaquant de pointe d’Advocaat est sur tous les ballons. Il tente plusieurs frappes très dangereuses mais le portier Grec est plus fort.

Sifakis, l’homme fort pour la Grèce
Le portier, préféré à Chalkias, n’aura pas déçu son entraîneur Portugais. Malgré les multiples tentatives de buts de la part des Russes, Sifakis a réussit à garder sa cage inviolée. Plusieurs fois, il aurait pu se faire surprendre… mais il a été intraitable avec ses adversaires.


Les flops

Karagounis, buteur suspendu
Le capitaine de l’équipe nationale grecques, a inscrit le but de la victoire à la 45'+2'. Le vétéran de la sélection inscrit le 100ème but de sa carrière. Cependant, à la 61', Karagoumis est averti pour simulation, ayant cherché un penalty dans la surface russe. Le buteur sera suspendu pour les quarts de finale.

Dzagoev, décevant
Le jeune prodige russe, qui a défrayé la chronique toute cette semaine, a peu été présent dans le jeu. Pourtant buteur contre la République Tchèque, l’attaquant du CSKA Moscou n’a pas été très percutant sur le terrain. Il a commis beaucoup de fautes.

La reprise du jeu des grecs
Très absent dans la première mi-temps, avant le but libérateur, la sélection grecque a connu une entame de deuxième mi-temps timide. A croire qu’ils avaient décidé de subir et d’attendre la fin du match. Heureusement, 30 minutes avant la fin du match, les Grecs ont poussés et ce jusqu’au coup de sifflet final.

La Grèce réussit à se qualifier de justesse. Une qualification, sûrement bien mérité, car les hommes de Fernando Santos ont peut être montré plus d'envie !

Par Amélie Lesoudier