La course est lancée pour l’organisation de la Coupe du Monde 2030 pour laquelle plusieurs pays ont déjà officialisé leur candidature. L’Arabie Saoudite en fait partie, tout comme le groupement ambitieux de l’Espagne, du Portugal, de l’Ukraine et du Maroc. Avec un dossier tourné vers l’environnement et la durabilité.
Dans les starting-blocks, les pays qui rêvent d’organiser la Coupe du Monde 2030 dévoilent tour à tour leur projet. Et leurs arguments pour convaincre la FIFA. Après l’Arabie Saoudite, dont le dossier fait beaucoup parler en cette période de mercato avec des investissements XXL partout dans le monde, deux candidatures à plusieurs pays ont vu le jour. La première vient d’Amérique du Sud, avec quatre pays : Argentine, Uruguay, Chili et Paraguay. La seconde implique l’Espagne, le Portugal, le Maroc et l’Ukraine. Et ce dernier dossier prend peu à peu de l’ampleur.
Des arguments sociaux et environnementaux
En effet, une réunion vient d’avoir lieu entre le Maroc, l’Ukraine, l’Espagne et le Portugal pour affiner la stratégie commune des pays. Réunis à Madrid, les décideurs de chaque nation ont indiqué vouloir miser sur la « durabilité humaine et environnementale ». Des causes pleines de sens qui pourraient clairement attirer l’attention d’une FIFA de plus en plus sensible aux sujets contemporains. Et pour contrer la candidature de l’Arabie Saoudite, qui ambitionne d’organiser la Coupe du Monde en 2030 mais également les Jeux Olympiques d’été par la suite, il faudra être solide et avoir des arguments à faire valoir.