Contrôlé positif à un diurétique le 14 juillet dernier, Frank Schleck nie toute prise de produit dopant. Le Luxembourgeois attend l’analyse de l’échantillon B mais évoque déjà la thèse de l’empoisonnement.
Evidemment, une journée de repos sur le Tour de France a été marquée par une affaire de dopage. Evidemment, le coureur incriminé nie les faits. Là où Frank Schleck innove, c’est dans l’hypothèse avancée pour expliquer la présence d’un diurétique, le Xipamide, dans le résultat de ses analyses. En cas d’échantillon B également positif, on connaît déjà la thèse qu’avancera le Luxembourgeois.
Schleck nie s'être dopé « Je nie catégoriquement avoir pris une quelconque substance interdite, assure-t-il à RTL. Je n’ai aucune explication pour ce résultat. Si l’analyse de l’échantillon B confirme ce résultat, je démontrerai que j’ai été victime d’empoisonnement. »
Après les bonbons à la cocaïne de la tante de Gilberto Simoni et la belle-mère malade de Raimondas Rumsas en 2002 puis la thèse de la viande toxique avancée par Alberto Contador en 2010, quelle théorie va avancer Schleck ?