Basket : Un gros coup de Tony Parker tombe à l’eau
La rédaction

Comme annoncé depuis plusieurs semaines déjà, Tony Parker a cherché à vendre ses parts de l’ASVEL à l’investisseur Serge Bueno. Mais voilà que ce samedi, des informations ont révélé non seulement que ce projet avait échoué, mais également que l’ancien basketteur français avait été recadré par un membre du conseil administratif de l’OL, mais également par un investisseur majeur de l’ASVEL.

Tony Parker se trouve actuellement dans une situation délicate. Il y a quelques semaines, le journal L’Équipe révélait que l’ancienne gloire des Spurs de San Antonio souhaitait vendre ses parts de l’ASVEL, franchise de Betclic League dont il est le président depuis 2014. Suite à ces révélations, TP déclarait ceci dans l’optique de rassurer ses supporters : « Je veux rassurer tout le monde. Je me vois rester à l'Asvel dans les dix prochaines années ! Il y a beaucoup de gens qui m'ont fait confiance, que ce soit les actionnaires, les partenaires, les joueurs ou les joueuses. Je suis bien conscient de tout cela ». Ainsi, l’ancien joueur affirmait que, malgré la vente de ses parts auprès de la société SmartGoodThings, il resterait quoi qu’il arrive président de l’ASVEL. Mais comme révélé ce matin par le quotidien sportif, cette vente n’aura pas lieu.

Parker bloqué dans sa vente par un membre de l’OL

La bombe est tombée ce samedi matin. Tony Parker ne va pas pouvoir mener à bien son projet de vente de ses parts de l’ASVEL. TP déclarait, en souhaitant vendre ses parts, « vouloir faire grandir le club ». Mais c’était sans compter sur Tanguy Sauvage, directeur général d’OL Groupe (dont Tony Parker était membre du comité d’administration avant l’arrivée de John Textor). Ce dernier, actionnaire majeur du club de Villeurbanne, est monté au créneau pour empêcher le basketteur de réaliser son projet.

Un pacte d’associé a empêché TP de réaliser son projet

Tanguy Sauvage, ainsi que Laurent de la Clergerie président de LDLC se sont opposés à la vente des parts détenus par Tony Parker, par le biais d’un « pacte d’associés », comme le révèle L’Équipe. Ce procédé simple stipule que si un actionnaire majoritaire comme le légendaire numéro 9 souhaite vendre des parts du club, ce dernier a l’obligation d’obtenir l’accord des autres actionnaires majeurs, que sont notamment les deux noms cités plus haut. Tony Parker doit donc rester actionnaire majeur du club rhodanien à contrecœur…

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