Après un très long feuilleton, Kylian Mbappé semble finalement avoir accepté l'idée rester au PSG en faisant des concessions afin d'éviter un départ libre dans un an. Par conséquent, le crack de Bondy pourra évoluer aux côtés d'Ousmane Dembélé cette saison. Un duo qui promet d'être explosif comme l'affirme Daniel Riolo qui estime que c'est la seule chose qu'il manquait à Luis Enrique.
PSG : Le feuilleton Mbappé réglé en quelques minutes ? https://t.co/ZxySanDmAp pic.twitter.com/t9tgTCTqIB
— le10sport (@le10sport) August 14, 2023
«Des joueurs comme Dembélé et Mbappé vont faire cette différence»
« Après avoir vu le match (face à Lorient, 0-0, samedi), si vous êtes dirigeant, de façon cynique, vous vous dites: "peut-être qu’avec Dembélé à droite et Mbappé à gauche, cette équipe a une autre allure". On a vu une volonté et une détermination qu’on n’avait pas vues pendant un an sur le terrain. Pendant un an, on s’est largement embêté avec une équipe du PSG amorphe où rien ne se passait. Il a manqué des buts et peut-être que des joueurs comme Dembélé et Mbappé vont faire cette différence. Il faut que les deux parties jouent la diplomatie. Si on continuait avec Mbappé en tribunes au 31 août, c’était intenable. De toute façon, tu vas être coincé, autant être cynique et tu te sers du mec », lance le journaliste de RMC sur le plateau des Grandes Gueules, avant d'en rajouter une couche.
«Si vous mettez Mbappé d’un côté, Dembélé de l’autre, l’équipe n’avait pas la même allure»
« Si vous mettez Mbappé d’un côté, Dembélé de l’autre, l’équipe n’avait pas la même allure face à Lorient. Les deux doivent s’inscrire dans les demandes de Luis Enrique où il va falloir qu’ils courent, défendent, fassent du pressing. Je ne crois pas du tout que Mbappé soit réfractaire à ça. Ce qui faisait défaut ces dernières années, c’est qu’il y en avait trop avec Messi, Neymar. Tous les immenses champions ont été des égocentriques, des égoïstes qui n’avaient pas envie de courir si les autres ne couraient pas. Quand il voyait que Messi ne faisait rien, que Neymar ne jouait que 50% des matchs comme Verratti, il n’avait pas envie de se bouger si les autres ne le faisaient pas d’autant que c’est lui qui tenait l’équipe à bout de bras et qui mettait les buts. Je crois complètement qu’il se mette au diapason sous les ordres de Luis Enrique », ajoute Daniel Riolo.