Recrue star de l’été dernier, Alexis Sanchez pourrait bien être l’un des grands regrets de l’Olympique de Marseille un an après. Le Chilien a en effet expliqué qu’il souhaitait poursuivre l’aventure dans le sud de la France, mais avec l’arrivée de Marcelino le club aurait finalement pris une autre direction.
Il semble y avoir des torts des deux côtés. Star de l’OM la saison dernière, Alexis Sanchez est sorti par la petite porte au terme de son contrat et si un retour a longtemps été évoqué, il n’est jamais revenu. Désormais, il a signé avec son ancien club de l’Inter et devrait faire ses grands débuts dès la prochaine journée de Serie A.
L'OM va encore boucler un transfert ! https://t.co/jcoojST1Na pic.twitter.com/wuy462vbK4
— le10sport (@le10sport) August 28, 2023
« Jusqu'au dernier moment, c'était dans notre tête, savoir comment son arrivée pourrait être complémentaire avec l'effectif actuel »
Du côté de l’OM on n’a rien caché et on a effectivement expliqué par le biais de Pablo Longoria que les négociations ont été rompues avec Alexis Sanchez. « Jusqu'au dernier moment, c'était dans notre tête, savoir comment son arrivée pourrait être complémentaire avec l'effectif actuel. On a eu beaucoup de discussions » a déclaré le président de l’OM. « On a abandonné la piste Sanchez dans les dernières semaines, je ne pourrais pas donner une date exacte car on a tellement eu de discussions qu'on oublie. C'est un super joueur qu'on aimerait avoir avec nous, c'est sûr. Mais on recherchait d'abord la complémentarité au sein de l'effectif ».
La Ligue des Champions n’avait rien à voir
Tout au long de l’été, il a pourtant été dit que le retour d’Alexis Sanchez tenait à un seul argument : la Ligue des Champions. Et avec la troisième place de la saison dernière cette qualification ne devait se décider qu’au mois d’aout... avec finalement un échec de l’équipe de Marcelino, qui disputera la Ligue Europa cette saison. Une source interne à l’OM assure toutefois à RMC Sport, qu’une qualification ou non pour la plus prestigieuse compétition européenne n’avait visiblement rien à voir avec le dossier Sanchez.