Le Paris FC compte deux recrues jusqu’à présent, avec les arrivées de Moses Simon (ex-FC Nantes) et Noah Sangui (ex-Reims). Le président Pierre Ferracci a confirmé que d’autres renforts étaient attendus, notamment en attaque. Ce qui devrait obliger le promu à lâcher un gros chèque pour parvenir à ses fins.
Le mercato estival du Paris FC est plus lent qu’attendu. Alors que de nombreux noms ont été évoqués depuis la montée en Ligue 1 de l’autre club de la capitale, seuls deux renforts ont signé jusqu’à présent : l’ailier Moses Simon (ex-FC Nantes) et le défenseur Noah Sangui (ex-Reims). « Cela avance un peu moins vite car les sujets sont difficiles et on n’est pas les seuls d’ailleurs. Mais nous avons un plan de recrutement qui porte sur 7 à 8 joueurs et certains dossiers se décanteront au mois d’août, a reconnu Pierre Ferracci, président du PFC. L’objectif est d’avoir 4 à 5 recrues à la fin juillet dans notre effectif. »
« Les attaquants font l’objet de transfert important »
Le Paris FC va notamment mettre la main sur un avant-centre, ce qui risque de coûter cher. Le président Ferracci en a conscience. « C’est évident que ce sont des denrées très rares donc les prix montent. C’est une réalité qu’on a connu même en Ligue 2. Quand on veut Jean-Philippe Krasso, qui a été très utile pour assurer cette montée, c’est évident que ça coûte plus cher. Les attaquants font l’objet de transfert important. Ça renvoie à des enjeux financiers assez lourds », a-t-il confié dans un entretien accordés à RMC.
Ça restera inférieur à 40M€
Pour autant, Pierre Ferracci dément les rumeurs évoquant un transfert d’une quarantaine de millions d’euros durant le mercato estival. « Des chiffres ne sont pas réalistes. Certains de vos confrères se transforment en attaché de presse pour faire circuler des chiffres sans même nous avoir approché, a répondu le boss du PFC. Qui connaît un petit peu le Paris FC et ses dirigeants sait très bien qu’on ne fera pas de folies. On respecte les dirigeants de Nantes et nous avons eu une négociation de qualité avec Waldemar Kita et son fils Frank Kita pour le transfert de Moses Simon. La seule chose que je peux dire c’est que concernant les attaquants, nous avons plusieurs pistes prometteuses en termes de qualité des joueurs. Après, nous sommes très attentifs à l’équation économique. Nous ne voulons pas passer pour un club qui fait tout et n’importe quoi car nous avons des investisseurs puissants. »