Bien décidé à bâtir un effectif capable de rivaliser avec les meilleures formations de Ligue 1, le Paris FC s'est déjà renforcé en recrutant Moses Simon et Noah Sangui, alors qu'Otavio est également très proche. En revanche, en ce qui concerne Matthis Abline, pour lequel la somme de 40M€ a circulé, Pierre Ferracci, le président du PFC, se montre catégorique.
Après avoir enrôlé Moses Simon et Noah Sangui, le Paris FC semble tout proche de boucler le transfert du défenseur brésilien du FC Porto, Otavio. Mais ce n'est pas tout puisque le PFC souhaite également recruter un avant-centre et la piste menant à Matthis Abline a circulé. Un transfert à 40M€ a même été évoqué. Mais Pierre Ferracci, président du promu, mais fin à ce fantasme.
40M€ pour Abline, Ferracci calme tout le monde
« Des chiffres ne sont pas réalistes. Certains de vos confrères se transforment en attaché de presse pour faire circuler des chiffres sans même nous avoir approché. Qui connaît un petit peu le Paris FC et ses dirigeants sait très bien qu’on ne fera pas de folies. On respecte les dirigeants de Nantes et nous avons eu une négociation de qualité avec Waldemar Kita et son fils Frank Kita pour le transfert de Moses Simon. La seule chose que je peux dire c’est que concernant les attaquants, nous avons plusieurs pistes prometteuses en termes de qualité des joueurs. Après, nous sommes très attentifs à l’équation économique. Nous ne voulons pas passer pour un club qui fait tout et n’importe quoi car nous avons des investisseurs puissants », confie-t-il dans une interview accordée à RMC Sport.
«Des chiffres ne sont pas réalistes»
Cependant, Pierre Ferracci reconnaît que le recrutement d'un attaquant est forcément plus coûteux que d'autres postes : « C’est évident que ce sont des denrées très rare donc les prix montent. C’est une réalité qu’on a connu même en Ligue 2. Quand on veut Jean-Philippe Krasso, qui a été très utile pour assurer cette montée, c’est évident que ça coute plus cher. Les attaquants font l’objet de transfert important. Ça renvoie à des enjeux financiers assez lourd ».