OM : Marcelino se lâche sur son mercato
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

S’il a quitté l’OM il y a seulement un mois, Marcelino aurait pu rapidement faire son retour. Après avoir rejeté une proposition de l’Arabie Saoudite, il a également refusé de faire son retour au FC Séville. Interrogé par Marca, le technicien espagnol de 58 ans a expliqué les raisons de ce choix.

Un mois après son départ de l’OM, Marcelino fait la tournée des médias en Espagne. L’occasion pour le technicien espagnol de revenir en détail sur son expérience ratée à Marseille et sur les raisons de son départ, ainsi que de se projeter sur la suite. Interrogé par la Cadena Cope, il avait révélé avoir été approché par le FC Séville, ainsi que par l’Arabie Saoudite après avoir quitté l’OM.

«Il devait y avoir certaines conditions»

Cette fois-ci auprès de Marca, Marcelino a expliqué pourquoi il avait refusé de retourner au FC Séville, club qu’il avait entraîné entre juin 2011 et février 2012 : « J'ai une très bonne relation avec les dirigeants de Séville, beaucoup d'entre eux étaient déjà là en 2011, quand j'étais là. Je ne sais pas si j’étais le premier choix parce que Séville est un grand club et je suis sûr qu'ils ont beaucoup d'options. J'ai été attiré par l'idée parce que c'est une épine dans mon pied, mais pour répondre aux attentes, il devait y avoir certaines conditions qui ne se sont pas produites. »

«Seuls les projets stables et durables sont viables»

« Ils m'ont proposé un contrat d'une saison basé sur des objectifs et nous pensions que ce n'était pas les circonstances idéales car, ce que j'ai appris là-bas, c'est que seuls les projets stables et durables sont viables. J'étais convaincu que Séville était un bon club avec de bons joueurs, mais nous n'étions pas prêts à accepter un travail de sept mois. Nous ne pensions pas que les conditions étaient réunies pour relever ce défi », a expliqué Marcelino.

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