Mercato : «Un surdoué» va signer au PSG !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

C’est désormais confirmé, le PSG a trouvé un accord avec le LOSC pour le recrutement de Lucas Chevalier, qui devrait donc rejoindre Paris contre 50M€. Un gros coup pour le club de la capitale, qui va désormais disposer d’un jeune gardien complet. Pour Jérôme Alonzo, le portier de 23 ans est un véritable surdoué à son poste.

Le mercato du PSG s’anime. Le club parisien finalise le transfert de Lucas Chevalier, qui va rallier Paris en provenance de Lille contre un montant de 50M€. Le gardien français devrait ainsi remplacer Gianluigi Donnarumma dans les buts, alors que son profil convient davantage à ce qu’attend Luis Enrique à ce poste.

« Il a la jeunesse, le talent, le côté bon camarade de vestiaire »

« Lucas a la panoplie de ce que Luis Enrique attend d'un gardien, analyse Jérôme Alonzo auprès de l’Equipe. Il a la jeunesse, le talent, le côté bon camarade de vestiaire, il supporte la pression et la grande différence avec Donnarumma est sa capacité à faire évoluer le jeu de l'arrière grâce à son jeu au pied. Gigio a fait des progrès dans son jeu au pied, c'est sûr, il ne fait plus de boulettes, mais son apport en la matière reste minimaliste. De son côté, Lucas a les trois relances : la très courte, le petit chip à mi-distance que j'adore et qui te passe le premier rideau de pressing, et la longue », poursuit-il.

« Dans les moments chauds, il y va »

Pour l’ancien gardien du PSG (2001-2008), Lucas Chevalier est un phénomène, qui dispose encore d’une marge de progression. « Le jeu au pied, c'est bien beau mais pour un gardien, la base, ce sont les arrêts, les sorties, et j'adore son jeu aérien. Dans les moments chauds, il y va. Si je devais pinailler, je dirais qu'avec son parcours surdoué, il dégage parfois une impression de facilité. Mais sinon, il a tout, et on dit qu'un gardien arrive à maturité à 26-27 ans, donc il a encore une marge de progression... ».

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