Mercato - PSG : A peine arrivé, cette recrue de Campos a affiché une terrible crainte
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

L’été dernier, Carlos Soler a fait le choix de quitter son club formateur, Valence, pour s’engager avec le PSG. Un choix difficile pour lui et risqué, à quelques mois de la Coupe du monde. L’international espagnol, présent au Qatar avec la Roja, avoue y avoir pensé au moment de prendre sa décision.

Lors du dernier mercato estival, le milieu de terrain du Paris Saint-Germain a connu de nombreux changements. Quatre joueurs ont été recrutés par Luis Campos dans ce secteur de jeu : Vitinha, Renato Sanches, Fabian Ruiz et Carlos Soler. Ce dernier avait jusque-là toujours évolué au sein de son club formateur, Valence. S’il est heureux d’avoir rejoint le PSG, le joueur âgé de 25 ans avoue tout de même que cela n’a pas été une décision facile à prendre.

«J'ai voulu partir, franchir un cap et aller vers un immense club»

« Ce n'est pas facile de quitter ma maison, là où j'ai passé toute ma vie. Mais j'ai voulu partir, franchir un cap et aller vers un immense club, l'un des plus grands d'Europe, et me bagarrer pour jouer le plus possible et gagner des titres. Je suis heureux maintenant. J'ai connu un petit moment d'apprentissage, mais ce dernier mois, j'ai pu jouer plus, j'ai aidé l'équipe... Ça a été mieux », a confié Carlos Soler, dans un entretien accordé à l’AFP.

«Mes proches me posaient des questions là-dessus»

Quitter Valence pour rejoindre le PSG, à quelques mois de la Coupe du monde, aurait pu représenter un risque quant à sa participation à la compétition avec l’Espagne : « C'est forcément quelque chose qui te passe par la tête. C'est inévitable. Les gens m'en parlaient, mes proches me posaient des questions là-dessus. Mais moi, j'ai toujours cru en moi. Je savais que jusque-là, j'avais fait du bon travail en sélection, et que ça allait continuer. Au final, c'est ça qui est important : avoir confiance en soi, se sentir important. Et je me sens important en sélection », a ajouté Carlos Soler.

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