Entre l’OM et Azzedine Ounahi, le courant n’est jamais réellement passé, qu’importe le coach qui figurait sur le banc de touche. A son arrivée à la fin du mois de juin, Roberto De Zerbi a immédiatement été mis au parfum des velléités de départ de l’international marocain, parti en prêt au Panathinaïkos. C’est en effet le discours qu’a tenu l’entraîneur italien à la presse ce lundi.
Roberto De Zerbi a débarqué à l’Olympique de Marseille le 29 juin dernier quelques semaines après son départ de Brighton. Le technicien italien a convaincu son monde lors de ses débuts en Ligue 1 avec deux victoires contre le Stade Brestois et le Toulouse FC (5-1 et 3-1) contre un seul match nul concédé au Vélodrome contre le Stade de Reims (2-2). Les semaines ayant suivi sa nomination au poste d’entraîneur de l’OM, De Zerbi a témoigné d’une considérable revue d’effectif.
Un joueur de l’OM moqué comme Neymar, sa femme balance https://t.co/P0XClnaLK7 pic.twitter.com/JbqvzdA051
— le10sport (@le10sport) September 9, 2024
Azzedine Ounahi a quitté l’OM pour le Panathinaïkos
Et pour cause, Roberto De Zerbi aurait rapidement inclus des éléments jugés indésirables à ses yeux dans un loft mis en place par la direction. Les joueurs en faisant partie étaient invités à aller voir ailleurs. Et c’est ce qui s’est passé avec Pau Lopez (Girona), Samuel Gigot (Lazio), Jordan Veretout (OL) ou encore Azzedine Ounahi (Panathinaïkos). La semaine dernière, le milieu de terrain de 24 ans a signé en faveur du club d’Athènes sous le forme d’un prêt avec une option d’achat d’11,5M€.
«Ounahi voulait partir aussi, et je le savais dès le début»
Cependant, d’après les propos de Roberto De Zerbi, Azzedine Ounahi n’a pas intégré le loft de par sa décision, mais plutôt en raison du souhait du joueur de plier bagage. « Ounahi voulait partir aussi, et je le savais dès le début, c’est pour ça que je ne l’ai pas fait disputer nos matches amicaux en Angleterre et à Augsbourg ». a confié l’entraîneur de l’OM ce lundi lors de l’ouverture à la presse d’un entraînement des non internationaux au centre Robert Louis-Dreyfus et dans des propos relayés par Le Phocéen.