Mercato - OM : Le transfert polémique qui fait jaser en Italie !
Thomas Bourseau

Malgré tous ses problèmes juridiques pour coups et blessures envers sa compagne Harriet Robson, Mason Greenwood s’est relancé à Getafe en prêt la saison passée. Ce qui a donné des idées au président Pablo Longoria pour se mettre d’accord avec Manchester United au sujet de son transfert à l’OM. Et ce, bien que la Lazio ait poussé en vain et avec de la rancune chez le directeur sportif romain.

En juillet dernier, Pablo Longoria est allé à l’encontre de la volonté de certains observateurs et surtout du maire de Marseille Benoît Payan. En effet, ce dernier avait formellement fait savoir qu’il refusait de témoigner de la présence d’un homme qui avait « massacré » sa femme à l’OM. Toutefois, malgré ses antécédents avec la justice pour violence et viol envers sa compagne, Mason Greenwood a débarqué à l’Olympique de Marseille pour un deal qui pourrait grimper jusqu’à 31,6M€ si jamais tous les bonus étaient atteints.

«Une vente aux enchères a commencé et j’ai estimé que je ne pouvais pas dépasser une certaine limite» 

Toutefois, avant que l’OM parvienne à se mettre d’accord avec Manchester United et l’attaquant anglais de 22 ans, la Lazio avait poussé afin de mener à bien cette opération. Et pour Radio Lazio Style, Angelo Fabiani n’a pas manqué de confirmer cette tendance et cet échec pour le pensionnaire de Serie A. « Nous le voulions déjà l’année dernière, mais il y a eu un problème avec le joueur. Vous savez tous quel a été le problème avec Greenwood. Un agent a évoqué l’idée de le voir en Italie, nous lui avons donné un délai, puis une vente aux enchères a commencé et j’ai estimé que je ne pouvais pas dépasser une certaine limite ».

«Je ne veux pas de ces mercenaires»

Dans des propos rapportés par Foot Mercato, le directeur sportif de la Lazio en a rajouté une couche en se montrant bien plus virulent envers Mason Greenwood, le « mercenaire » à ses yeux. « Nous avons proposé environ 26 millions d’euros. Il a préféré choisir un autre club et, selon moi, les meilleures affaires sont celles que l’on ne fait pas. Je veux des joueurs qui aiment le club dans lequel ils travaillent. Je ne veux pas de ces mercenaires. C’est une chance de ne pas faire certaines affaires. J’ai des valeurs que mes parents m’ont transmises. Il a choisi une autre voie et nous lui souhaitons bonne chance ».

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