Lors du dernier mercato hivernal, Cédric Bakambu s'est engagé librement et gratuitement en faveur de l'OM. Interrogé ce dimanche soir sur son arrivée à Marseille, l'attaquant de 30 ans s'est livré sur son intégration dans le vestiaire de Jorge Sampaoli.
Libre de tout contrat depuis son départ de Beijing Guoan en 2021, Cédric Bakambu a migré vers la France cet hiver. En effet, l'attaquant de 30 ans a signé à l'OM, et ce, pour 0€. Lors d'un entretien accordé au Canal Football Club,Cédric Bakambu a raconté toutes les coulisses de son arrivée. « Les contacts avec Pablo Longoria et la finalisation de mon arrivée ? Ç'a a été long pour moi parce que je n'avais pas de club. Le président est venu me voir en bas de chez moi au début du mois de décembre et il me dit : "j'ai envie que tu rejoignes le projet, que tu signes à l'OM". Franchement, j'ai tout de suite accroché. De par notre passé aussi... je sais qu'en Espagne il avait les yeux rivés sur moi. C'est lui qui m'a conseillé à Marcelino à l'époque où je signe à Villarreal. Il y avait une histoire. C'était long parce que c’était début décembre et je signe le 13 janvier. C'était une éternité pour moi. J'étais limite en mode : "Mais il m'a oublié Pablo là. Pourquoi mon téléphone il ne sonne plus ? Qu'est-ce qui se passe ? Le mercato a commencé". J'appelais mon agent tous les jours. J'étais comme un fou, donc quand ça s'est fait, c'était un immense soulagement », a précisé Cédric Bakambu avant de se prononcer sur son intégration dans le vestiaire de l'OM.
«Ça chambre tous les jours, à l'image de Dimitri Payet, Amine Harit et Guendouzi»
« Ma plus grosse surprise en arrivant à l'OM ? La décontraction dans le vestiaire. Je m'attendais à voir un vestiaire plus froid avec un peu d'égo, mais pas du tout. Je suis arrivé et franchement ça chambre tous les jours, à l'image de Dimitri Payet, Amine Harit, (Matteo) Guendouzi, franchement c'est trop. Il y a tout pour s'épanouir. J'ai hâte de faire trembler les filets à domicile », s'est enflammé Cédric Bakambu sur Canal + ce dimanche soir.