Mercato : Le PSG n’en veut plus, une offre à 35M€ est dégainée
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Ce n’est un secret pour personne, le PSG devrait tenter de dégraisser son effectif d’ici la fin du mercato estival. Si plusieurs départs sont attendus, le club parisien cherche toujours à se débarrasser de Hugo Ekitike. L’attaquant de 21 ans possède plusieurs prétendants sur le marché des transferts, dont Everton qui aurait proposé 35M€ à Paris pour le recruter.

Le PSG souhaite vendre Hugo Ekitike cet été

Car si le joueur formé au Stade de Reims garde une certaine côte sur le marché des transferts en raison de son potentiel ainsi que de par son âge relativement jeune, le PSG n’a jamais caché son désir de se séparer d’Hugo Ekitike. Après une saison décevante effectuée en prêt au sein du club de la capitale, le longiligne attaquant avait été automatiquement transféré au PSG contre un montant estimé à 36M€ car Paris avait terminé dans les deux premiers de Ligue 1 la saison dernière. Il semblerait d’ailleurs que l’ancien rémois possède de sérieux prétendants sur le marché des transferts.

Everton propose 35M€ au PSG pour Ekitike

En effet, Sports Zone affirme ce mercredi que West Ham s’intéresse de près à Hugo Ekitike et pourrait rapidement agir à son sujet afin de remplacer l’Italien Gianluca Scamacca. Mais les Hammers ne sont pas les seuls sur le dossier, car Everton aurait d’ores et déjà transmis une première offre au PSG pour Hugo Ekitike. Selon Sports Zone, cette dernière est estimée à 35M€ + 5M€ de bonus. Dans un autre temps, Paris espère toujours utiliser l’attaquant français comme monnaie d’échange afin de recruter l’attaquant de l’Eintracht Francfort Randal Kolo Muani. Affaire à suivre...

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