Mercato : Il quitte le PSG et se lâche sur son transfert
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Recruté à la demande de Thomas Tuchel en 2018 pour 37M€, Thilo Kehrer n'a jamais réellement réussi à s'imposer au PSG. Il a donc quitté le club parisien l'été dernier à un an de la fin de son contrat afin de s'engager avec West Ham pour environ 16M€. Un choix qu'il ne regrette absolument pas.

L'été dernier, le PSG a fait le forcing afin de dégraisser au maximum son effectif. Le bilan est mitigé puisque très peu de joueurs sont partis sont la forme de transferts définitifs. Parmi eux, Thilo Kehrer s'est engagé avec West Ham, quatre ans après son arrivée à Paris pour 37M€. Réclamé par Thomas Tuchel, l'international allemand n'a toujours jamais réellement réussi à s'imposer au PSG. Et l'arrivée de Christophe Galtier a contribué à son départ. Mais Thilo Kehrer ne regrette pas son choix.

Kehrer justifie son départ du PSG

« Pourquoi West Ham ? Je voulais jouer prendre du rythme pour aller la Coupe du monde. On n’a pas les résultats qu’on veut, mais je viens en sélection avec confiance car j’ai enchaîné les matches dans la meilleur ligue du monde. J’ai toujours pensé que jouer était primordial pour se développer, car aucun entraînement ne peut compenser un match. Au bout d'un moment, on a un statut dans un club et il est compliqué d'en sortir, même si j'ai beaucoup joué lors de certaines saisons à Paris. C'est toute cette expérience que j'ai ramenée à West Ham où chaque match est un défi », lance l'international allemand dans les colonnes de L'EQUIPE avant d'en rajouter une couche.

«J'avais pour objectif de montrer mes qualités de leader»

« J'avais pour objectif de montrer mes qualités de leader. Etre un cadre, c'est ce que je cherchais et ça se passe très bien. Je suis content d'avoir franchi ce pas », ajoute Thilo Kehrer.

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