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Le fiasco est total à l'OM, un départ déjà programmé ?

Le fiasco est total à l'OM, un départ déjà programmé ?
Thomas Bourseau

A peine arrivé, déjà reparti ? Lilian Brassier a déposé ses valises dans la cité phocéenne pendant le mercato estival, mais ne s'est pas imposé au sein de la défense centrale de l'Olympique de Marseille. Au contraire, Brassier ne joue plus et pourrait tester un marché très attrayant pour lui cet hiver. Explications.

Lilian Brassier (25 ans) a pris le chemin de l'OM sous la forme d'un prêt d'une saison avec option d'achat lors du dernier mercato. Ce qui mettait un terme à une histoire de trois ans avec le Stade Brestois. C'est au sein du club breton que Brassier s'est révélé au grand public après n'avoir jamais eu sa chance dans son club formateur qu'est le Stade Rennais. Cependant, son début d'aventure à l'OM ne se déroule pas comme il l'avait prévu.

Lilian Brassier est demandé sur le marché ?

L'Olympique de Marseille ne retrouve pour le moment pas le Lilian Brassier qui avait fait convaincu au Stade Brestois. Au point de pousser les dirigeants marseillais à miser sur lui à l'occasion du dernier mercato. Roberto De Zerbi l'a d'ailleurs mis de côté depuis la déroute face à l'AJ Auxerre le 8 novembre dernier (1-3). Et depuis, l'OM reste sur quatre victoires et un nul en cinq matchs. Un départ de Lilian Brassier dès le mercato hivernal est évoqué dans la presse à quelques jours de l'ouverture des portes du marché français (1er janvier - 3 février). La Tribune OM explique qu'il y aurait 4 ou 5 jours particulièrement intéressés par Lilian Brassier pour le mercato à venir.

«Brassier, par exemple, c’est moi qui l’ai voulu ici»

Lilian Brassier s'en ira-t-il chercher du temps de jeu ailleurs ? Le flou demeure autour de la question de son avenir, mais Roberto De Zerbi a reconnu se trouver dans une situation délicate au sujet du management de Brassier entre autres en conférence de presse. « J'anticipe d’ailleurs les questions qui pourraient venir après, notamment sur des joueurs comme Brassier, Koné ou Rowe. Brassier, par exemple, c’est moi qui l’ai voulu ici. Je les ai soutenus, et ça m’embête qu’ils n’aient pas de temps de jeu. Mais le football, c’est ça : personne ne joue parce qu’il est "fils de quelqu’un" ou par favoritisme»

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