Un an à peine après son arrivée à l’OM, Vitinha va déjà partir. L’attaquant portugais est effectivement sur le point de rejoindre le Genoa. Par conséquent, le passage de Vitina à Marseille restera comme un échec majeur compte tenu de l’investissement consenti, à savoir 27M€, hors bonus. Et Eric Di Meco n’hésite pas à balancer dans ce dossier.
Mercato : L’OM victime d’un hold-up ? https://t.co/VmdkC1Su3Y pic.twitter.com/syt5DiKLGc
— le10sport (@le10sport) January 30, 2024
«Beaucoup ont très rapidement vu qu’il y avait un problème de niveau»
« Le joueur on va éviter de l’enfoncer parce que cela doit être dur à vivre. Il le sait et c’est aussi pour ça, je pense, que les dirigeants s’activent pour essayer de lui trouver une porte de sortie car cela va être très très difficile pour lui de rentrer au stade Vélodrome. Je crois que même si certains supporteurs ont été indulgents, beaucoup ont très rapidement vu qu’il y avait un problème de niveau, qu’il n’avait pas de points forts, qu’il y avait un problème de coordination dans ses appuis et dans la surface. Il ne va ni vite ni ne saute haut. Il n’est pas malin dans la surface, il n’est pas adroit », lance tout d’abord l’ex-joueur de l’OM avant de décrypter les coulisses de cet échec.
Di Meco dénonce l'imposteur qui a recruté Vitinha
« On l’a vu assez rapidement. Peut-être que c’est Pablo Longoria le responsable, le plus gros responsable. Bien sûr qu’il est responsable puisqu’il est président et que c’est lui qui a fait le chèque et c’est lui qui a signé en bas du contrat. Sauf qu’il y a peut-être quelqu’un dans le club qui est allé le voir plusieurs fois et qui a dit au président, qui devait avoir une info comme quoi il y avait un joueur intéressant à Braga, qu’il fallait le prendre à 27 millions. Quand un inconnu réussit dans un club, tout le monde lève la main en disant l’avoir vu en premier. Là par contre, il y en a quand même un qui a fait cette démarche. Et celui-là, il est toujours au club ou c’est l’imposteur (David Friio) qui est parti à Lyon? Je ne sais pas qui c’est », ajoute Eric Di Meco.