En conférence de presse, Antoine Kombouaré en a profité pour faire le point sur le mercato du FC Nantes, qui a déjà vu Matthis Abline être transféré définitivement pour 10M€. Mais le coach des Canaris espère désormais équilibrer son effectif en voyant partir des joueurs dont le départ est acté. Ils sont trois. Et non des moindres.
C'est une situation qui ne plaît pas à Antoine Kombouaré. Alors que le FC Nantes a repris l'entraînement, le Kanak doit composer avec des joueurs dont le départ est pourtant certain cet été. Il s'agit de Pedro Chirivella, Douglas Augusto et Alban Lafont, qui ont tous un bon de sortie, et qui ne seront pas conservés. Antoine Kombouaré l'a confirmé en conférence de presse, les trois joueurs vont partir, et c'est assez problématique qu'il soit toujours là alors que le club a repris le chemin de l'entraînement.
Mercato - FC Nantes : Kombouaré appelle un attaquant pour son transfert https://t.co/zahBTWP9m7 pic.twitter.com/XqQpmVVaFQ
— le10sport (@le10sport) July 12, 2024
Chirivella, Douglas Augusto et Lafont poussés au départ
« Je ne vais pas vous l’apprendre, mais on est toujours dans une situation avec Pedro (Chirivella), Douglas (Augusto), Alban (Lafont)… Beaucoup de joueurs préparent aujourd’hui leur possible départ. C’est toujours bien présent dans ma tête. On met tout le monde à niveau, on travaille, mais on va devoir ajuster en fonction de nos arrivées et de nos départs », lâche le coach des Canaris en conférence de presse, avant de poursuivre.
«Leurs départs sont actés»
« Leurs départs sont actés. Ils sont amenés à partir. Jusqu’au dernier jour du mercato, je m’attends à ce qu’ils partent. Dans l’intérêt de tous, il faut qu’ils partent. Ce n’est pas un souhait que j’ai moi-même émis, c’est aussi eux qui ont fait leur chemin ici. Ils sont aujourd’hui dans l’optique de partir, même s’il reste l’incertitude avec les droits TV qui n’existent pas et qu’il existe des difficultés à acheter des joueurs. Peut-être qu’il y aura moins de mouvements que prévu. Les joueurs doivent se préparer à ce cas échéant, et nous on sera prêt à les accueillir, mais pour l’instant, ils partent », ajoute Antoine Kombouaré.