PSG - Polémique : OM, Likegate... Meunier répond sèchement aux supporters !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Alors que Thomas Meunier est critiqué par une partie des supporters du Paris Saint-Germain suite à son like sur une photo d’un tifo déployé par les supporters de l’OM, le Belge n’a pas mâché ses mots en évoquant cette affaire vendredi soir.

Qui aurait pu croire qu’un simple like sur Twitter aurait pu faire l'objet d’une telle affaire ? Suite à l’énorme ambiance lors de la demi-finale aller d'Europa League entre l'OM et Salzbourg, Thomas Meunier n’avait pas hésité à lâcher un simple like sur un tweet saluant l’ambiance et le tifo déployé par les supporters phocéens. Un geste qui n’est pas passé auprès de nombreux supporters du PSG. Le Belge a en effet subi de nombreux sifflets de la part d’une partie du Parc des Princes lors de la rencontre face à Guingamp dimanche dernier. Un traitement que digère assez mal le latéral droit, qui a remis le feu aux poudres ce vendredi après le nul concédé à Amiens (2-2).

« Je ne dois rien à personne »

« Je vais faire une réponse courte et ce sera la seule sur ce sujet. Que les choses soient bien claires, je ne dois rien à personne. Je n’ai de comptes à rendre à personne. Ni aux gosses de 12 ans qui me disent « Casse-toi du PSG », ni aux pseudo-supporteurs sur Twitter, ni à personne d’autre. Cette histoire va se régler en interne, avec les principaux concernés, c’est-à-dire les membres du Collectif ultras Paris, qui ont toujours été derrière le PSG. Ce sont les seuls envers qui je suis vraiment redevable. Si les autres sont curieux, ils s’arrangeront avec eux pour avoir des infos. » a précisé Thomas Meunier en zone mixte, dans des propos relayés par Le Parisien.

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