PSG - Luis Enrique : De Zerbi ment, Daniel Riolo balance cash
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

Dimanche soir, l'OM et le PSG disputeront un duel que tout le monde attend. Les deux clubs, plutôt en forme depuis le début de la saison, se retrouveront dans une affiche qui sent déjà la poudre. Si la rivalité entre Marseillais et Parisiens est forte, les deux entraîneurs n'ont pas hésité à se livrer quelques compliments en conférence de presse. Mais Daniel Riolo a voulu intervenir sur les propos de Roberto De Zerbi concernant Luis Enrique.

Après une saison difficile, l'OM a réussi à se remettre la tête à l'endroit pour se placer aux avant-postes en Ligue 1. Le club semble avoir les moyens de concurrencer sérieusement le PSG et le duel de dimanche sera forcément passionnant. Vendredi, Roberto De Zerbi n'a pas hésité à témoigner son admiration pour son homologue Luis Enrique.

De Zerbi encense Enrique

Présent en conférence de presse, Roberto De Zerbi a dressé un joli portrait de Luis Enrique. « C’est l’un des meilleurs entraîneurs du monde. C'est le cas depuis des années. Pas juste depuis qu’il est au PSG. Il a démontré que c’est un top coach. C’est évidemment une référence pour moi. Il a une matrice qui me plaît dans son jeu » a d'abord confié l'Italien, alors que l'Espagnol lui a répondu ce samedi. Mais il ne s'agirait là que de simples politesses si l'on en croit les propos de Daniel Riolo.

Riolo corrige le tir

Pas forcément en accord avec les propos de Roberto De Zerbi sur les qualités de Luis Enrique, Daniel Riolo n'a pas hésité à prendre la parole dans l'After Foot de RMC. « Qu’est-ce que tu veux qu’il dise… Evidemment. Non, il n’a pas été bon avec l’Espagne et avec le Barça, après 2015, ça a été une catastrophe industrielle. Dans le football, il y a des gens qui parlent et après quand tu leur parles en off, le discours change complètement. Il y a des idées officielles, des choses qui doivent se dire sur des gens, qui ont des tampons. C’est comme ça, ils restent marqués, ils sont dans le bon camp. C’est pareil ne politique, dans le monde du spectacle, l’expression ‘avoir la carte’ » précise l'éditorialiste.

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