Le 25 octobre dernier, la commission paritaire d’appel de la LFP demandait au PSG de verser les 55M€ d’impayés à Kylian Mbappé, dans un conflit parti pour durer. Alors que ce vendredi, l’instance a refusé un nouvel examen du dossier comme réclamé par le club francilien, Paris ne compte pas en rester là, et s’apprête à saisir une nouvelle instance. Explications.
Un conflit parti pour durer. Désormais au Real Madrid, Kylian Mbappé est en pleine bataille juridique avec le PSG, à qui le Français réclame 55M€ d’impayés. Pour rappel, en 2023, un accord verbal aurait été conclu entre le club parisien et l’attaquant de 25 ans dans lequel ce dernier s’engageait à renoncer à plusieurs de ses primes en cas de départ libre en fin de saison, et ce afin d’être réintégré dans le groupe professionnel.
Kylian Mbappé se fait clasher sur l’alcool et les filles https://t.co/ELpotG1hOD pic.twitter.com/73QFR2KLlU
— le10sport (@le10sport) November 20, 2024
La LFP rejette la requête du PSG dans le conflit avec Mbappé
Alors que Kylian Mbappé conteste la véracité de cet accord, l’affaire a été traduite à deux reprises en justice. Le 25 octobre dernier, la commission paritaire d’appel de la LFP avait donné raison au Français, demandant ainsi au PSG de verser la somme de 55M€ à son ancienne star. Mais le club français avait alors réclamé à ce que le dossier soit examiné de nouveau. Ce vendredi, l’AFP a révélé que l’instance avait refusé cette requête du PSG, en justifiant cette décision par un retard de délai de demande de la part de Paris…
Vers une saisie du CNOSF pour Paris ?
Ce n’est pas tout puisque l’AFP révèle que du côté du PSG, la nouvelle a été apprise ce vendredi matin sans grande surprise. Si les hautes sphères parisiennes ne s’attendaient donc pas à un verdict en leur faveur, le PSG a encore la possibilité de déposer un recours devant un tribunal administratif, et pourrait prochainement présenter son dossier devant le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). De son côté, Kylian Mbappé pourrait quant à lui passer par le conseil des prud’hommes. A suivre de près...