«Il est méprisant», Riolo balance sur une figure du PSG !
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Après la victoire du PSG à Rennes dimanche soir en championnat, Luis Enrique a eu un accrochage avec le journaliste Alexandre Ruiz, puisque l'entraîneur espagnol était agacé par ses questions. Une réaction qui a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, et que Daniel Riolo condamne fermement. 

La scène s'est tenue dimanche soir, à Rennes, quelques minutes après le succès du PSG en championnat (3-1). Au micro de Free Ligue 1, face à AlexandreRuiz et ses consultants RioMavuba et LudovicGiuly, LuisEnrique a perdu ses nerfs en s'en prenant au journaliste à cause de ses questions : « Tout est tout le temps négatif, hein ! Toutes les interviews ! Tu es le plus négatif de l'histoire du football mondial », lui a notamment lancé l'entraîneur du PSG, et cette séquence n'a pas manqué de faire le buzz sur la toile. 

« Rentre lui dedans »

Au micro de l'After Foot, sur RMC Sport, Daniel Riolo a réagi à cette scène et n'a pas manqué de tacler LuisEnrique pour son attitude : « Pour ce qui est du rapport qu’il a eu avec Alex Ruiz, je n’ai aucun problème à ce que le mec réponde de façon agressive. D’ailleurs, j’encourage les journalistes à lui répondre exactement sur le même ton, parce qu’ils n’ont pas à s’écraser. Ce qui m’énerve le plus chez les journalistes, c’est le ton solennel, révérencieux alors que lui te rentre dedans. Rentre lui dedans. (…) Luis Enrique est irascible et méprisant. (…) Dans un autre genre, Mourinho a une autre façon de faire. Il va souvent mépriser ou prendre de haut les personnes qui vont être là. Et il va adopter une attitude qui va être « moi, mes joueurs, mon peuple, contre le monde entier » », lance Riolo

« Il n’emmène même pas le peuple avec lui »

L'éditorialiste poursuit : « Alors, à la limite les supporters du club entraîné par Mourinho se sente pris dans le tric, jusqu’à ce que ça casse la troisième année. Mais dans un premier temps, il emmène au moins avec lui ses supporters. Le supporter se dit : « ah on a un coach avec nous ». (…) Enrique, en faisant ça, il n’emmène même pas le peuple parisien avec lui ». Voilà qui est clair... 

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